
Témoignages
C'est avec le plus grand plaisir que je témoigne du pouvoir salvateur de la Vérité, tel qu'il est démontré dans la Science Chrétienne; il est bien vrai que si nous connaissons la vérité, la vérité nous affranchit. Un matin lorsque je me réveillai je trouvai que tout un côté de ma figure était paralysé.
Lorsque j'étais jeune fille j'avais faim et soif de Dieu, et je m'enfermais dans un endroit retiré de la maison pour prier, m'efforçant de Le trouver comme en tâtonnant; mais je ne pus gagner un sens de Dieu qui me satisfît bien que je fusse membre d'une église. Je désirais ardemment dans ma jeunesse rencontrer quelqu'un qui fût assez spirituellement doué pour m'apprendre ce qui a trait à Dieu.
Il y a presque dix ans je m'adressai à la Science Chrétienne pour la guérison. A ce moment-là mon état physique était des plus déplorables et les médecins qui me soignaient désespéraient de me guérir.
Je ne puis exprimer en paroles tout ce qu'est pour moi la Science Chrétienne. Quelle glorieuse bénédiction de savoir qu'il ne nous faut pas attendre un jour lointain pour recevoir l'aide de Dieu, mais que nous pouvons demeurer en Lui maintenant.
Il y a cinq ans que nous étudions la Science Chrétienne, et pendant ce temps elle a été la seule chose à laquelle nous ayons eu recours en cas de maladie ou de difficulté. Elle est le plus grand bienfait qui nous soit jamais venu, car elle nous a donné un Dieu qui, nous le savons, est Tout-en-tout, un Dieu qui est Amour.
Je désire exprimer ma gratitude pour ma guérison des suites d'un accident d'automobile. Au tournant d'une route la voiture dérapa et heurta un poteau de téléphone, me lançant dans un fossé.
Il y a quelques années j'avais passé par les hôpitaux et j'avais obtenu tous mes diplômes de garde-malade afin de pouvoir aider aux malades et aux souffrants dans la mesure du possible; mais après avoir acquis toute cette connaissance médicale, je trouvai qu'elle n'apportait pas le secours que j'en attendais, et il y eut tant de cas désespérants que j'en fus attristée et déçue. A mesure que les années s'écoulaient j'aspirais de plus en plus à quelque chose qui fût d'un secours réel, non seulement par-ci par-là, mais en tout cas.
Les témoignages de guérison que j'ai lus dans nos périodiques m'ont tellement aidé et encouragé qu'il me semble que je dois essayer d'exprimer la gratitude que je ressens pour l'aide que m'a apportée la Science Chrétienne, surtout au cours des cinq dernières années. Je souffrais beaucoup de rhumatisme ainsi que d'une maladie grave de l'estomac qui me causait des maux de tête.
Lorsque la Science Chrétienne me trouva j'étais un pauvre estropié marchant à béquilles. J'avais été malade pendant plus de trois ans, et n'avais pu me servir de mon pied droit la plupart de ce temps.
En avril, 1910, j'eus mon premier traitement dans la Science Chrétienne pour ce qui semblait être un cas désespéré de calculs biliaires. J'avais subi trois opérations chirurgicales, et on m'avait dit qu'une quatrième opération était le seul moyen de me sauver la vie.