Témoignages

Pendant près de cinq ans mon mari fut incapable de travailler. Il avait essayé de tout dans l'espoir de recouvrer la santé, mais ni les cinq médecins qui le soignèrent ni les traitements qui lui furent donnés dans deux hôpitaux ne réussirent à le guérir.

C'est vraiment par les épreuves et par les tribulations que je fus amenée à chercher de l'aide dans la Science Chrétienne, et c'était là la tendre réponse de Dieu à ma prière, tandis que, dans le désert, j'appelais la lumière et le secours. Je ne connaissais, pour ainsi dire, rien de cet admirable enseignement lorsque, allant trouver un praticien dont j'avais vu l'enseigne, je lui dis que je ne pouvais comprendre comment un Dieu tout puissant, tout amour, pouvait envoyer à Ses enfants des afflictions et des épreuves si intolérables; mais le praticien m'assura que Dieu n'en était pas responsable, et ses explications m'intéressèrent beaucoup.

Je désire exprimer, dans une faible mesure, la gratitude que je ressens pour tout ce que la Science Chrétienne a fait pour moi depuis le jour où j'en entrepris l'étude, il y a six ans, avec l'espoir non pas d'y trouver la guérison physique, mais de connaître le sujet et de savoir si c'était là la vérité. En quelques mois je fus guérie de plusieurs maux soi-disant chroniques; ces guérisons furent obtenues soit avec le secours d'un praticien, soit par l'étude de la Bible et de “Science et Santé avec la Clef des Écritures.

A tous les témoignages, je désire ajouter le mien comme évidence de la plénitude de Dieu et du néant de l'erreur. Je souffrais de ce que les docteurs appellent des ulcères de l'estomac et des intestins, et, à la suite de deux hémorragies très graves, je n'étais plus qu'une épave.

Mon cœur déborde de gratitude pour tous les bienfaits qui me sont venus par la Science Chrétienne. Cette vérité qui guérit me trouva dans les profondeurs du désespoir, alitée et écrasée sous le poids de plusieurs maladies.

L'été dernier je tombai malade de la grippe. Malgré mon expérience dans la Science Chrétienne, une grande crainte s'empara de moi par suite des nombreuses victimes de cette maladie.

L'incident que je vais rapporter explique, à mon avis, l'un des points de la Science Chrétienne, à savoir, que tous les effets physiques, même ceux d'ordre chirurgical, sont d'origine mentale. Un jour, par une bourrasque, je me trouvais à neuf heures du matin dans un quartier de la ville très exposé, et mon chapeau fut emporté.

Les témoignages rapportés dans la Sentinel m'ont été d'un tel secours que moi aussi je désire exprimer ma reconnaissance envers Dieu, et ma gratitude envers Mrs. Eddy pour le don qu'elle a fait à tous ceux qui désirent s'instruire par ses écrits.

Dès mon enfance j'ai cherché à étudier et à aimer la Bible. Comme je grandissais, bien des questions perplexes touchant Dieu et l'homme se présentèrent.

Dès mon enfance j'étais constamment sous les soins des médecins. Après avoir souffert de l'influenza et passé huit mois dans un sanatorium, je me trouvais plus mal que jamais au cours de l'hiver qui suivit.