Témoignages
Il y a plus de vingt ans, avant que je ne découvre la Science Chrétienne, je souffrais de plusieurs maladies: un grave mal aux yeux, des douleurs lombaires, des rhumatismes et de la constipation chronique. Il m'arrivait souvent de pleurer sur mon sort, me demandant si ma vie serait meilleure un jour.
Depuis que j'ai suivi le cours Primaire de Science Chrétienne, les sept synonymes de Dieu utilisés par Mary Baker Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Écritures me sont devenus familiers. Mais récemment, en lisant ce livre, j'ai remarqué que les termes « Principe » et « Amour » sont étroitement associés, comme dans les passages suivants: « [Jésus] savait que le Principe divin, l'Amour, crée et gouverne tout ce qui est réel.
En raison de ma profession, je suis amenée à rencontrer beaucoup de monde. Je parle tous les jours devant un certain nombre de personnes et j'ai pour habitude de souvent me servir de mes mains lorsque je m'exprime.
Je suis infiniment reconnaissant pour tout le bien que la Science Chrétienne me permet de démontrer régulièrement. Il y a peu de temps, nous devions, ma femme et moi, partir une semaine en montagne.
Pendant longtemps j'ai souffert des symptômes du syndrome prémenstruel. J'étais souvent obligée d'interrompre mes activités pour m'allonger, le temps que disparaissent crampes aiguës, maux de tête et nausées.
L'Allemagne a été sévèrement touchée par une épidémie d'escherichia coli (EHEC) au printemps dernier. Il y avait déjà eu des victimes et les gens recherchaient fébrilement quelle était la cause de cette maladie.
La première fois que j'ai prié pour obtenir une guérison physique, c'était il y a environ 34 ans, alors que j'étais enceinte de sept mois. Nous étions en été.
Lorsque j'ai commencé à étudier la Science Chrétienne, j'utilisais ses enseignements uniquement pour résoudre des problèmes économiques, des tensions relationnelles, etc. , c'est-à-dire dans des domaines de la vie sans rapport avec la santé.
Toute ma jeunesse, j'ai souffert de maux de tête. La fréquence était telle que je ne pouvais passer un mois sans recourir à des comprimés pour apaiser la souffrance.
En 2010, je me suis levé de mon lit un matin et je me suis retrouvé incapable de marcher. Il me fallait m’appuyer sur les murs pour me déplacer.