
Témoignages
Par la voie des périodiques, je désire exprimer ma gratitude pour tous les bienfaits que j’ai reçus depuis que je suis entrée dans la Science Chrétienne. En novembre 1917, je fus subitement prise d’une angine.
Poussé par la gratitude et par un sentiment de devoir envers mes semblables qui sont dans la souffrance, je désire rendre témoignage de la merveilleuse guérison des suites d’un accident survenu en 1921,— guérison qu’effectua la Science Chrétienne. Un jour que notre fils âgé de douze ans rentrait de l’école, il rencontra dans le parc de la ville, un charretier qui conduisait son camion attelé de deux chevaux et qu’il connaissait de vue.
Lorsqu’un ami avec qui je travaillais attira pour la première fois mon attention sur la Science Chrétienne, je me rendis à une réunion du mercredi soir consacrée aux témoignages, mais je n’y pris pas goût et ne m’en occupai plus. Cependant, un an plus tard, j’eus le désir d’y retourner.
C’est avec une profonde gratitude pour le grand amour et la grande bonté de Dieu que je désire raconter la merveilleuse guérison qui s’est effectuée en moi par la Science Chrétienne. Pendant seize ans j’ai été une épouse et mère très malade.
J’ai souffert pendant plus de deux ans d’une maladie de poitrine. J’ai consulté plusieurs docteurs, même un spécialiste, mais rien ne pouvait me soulager; au contraire, j’étais tombée dans un tel état de faiblesse et de maigreur que j’avais perdu tout courage.
Il y a quelques années, je me démis sérieusement le pouce droit dans un concours athlétique. Un membre de ma famille me proposa d’essayer de la Science Chrétienne, et en quelques jours, avec l’aide d’un praticien, mon doigt redevint parfaitement normal.
La Science Chrétienne m’est venue à un moment où j’en avais grand besoin. Par suite d’un mode de penser erroné qui datait de longtemps, j’étais arrivée à bout de ressources.
Ayant le cœur plein de gratitude, je désire rendre témoignage d’une guérison rapide effectuée par la Science Chrétienne. J’ai souffert pendant plus de vingt ans de ce qu’on appelle des varices.
Lorsque la Science Chrétienne me fut présentée, j’étais dans un état de grand découragement; je venais de passer près d’un an au lit, dont cinq mois à l’hôpital, pour une affection du cœur, dite “Basedow. ” Quand j’eus pris connaissance d’un numéro du Héraut, qu’une amie m’avait prêté, je me procurai le livre de texte de la Science Chrétienne: Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, et je demandai de l’aide à une praticienne.
Je désire exprimer ma gratitude pour ce que la Science Chrétienne a fait pour les miens et pour moi. En mars 1916, ma femme eut une très forte crise de rhumatismes.