Témoignages

Le psaume quatre-vingt-quatre renferme ces paroles: “L'Éternel Dieu est un soleil et un bouclier; L'Éternel donne la grâce et la gloire; Il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité. ” La véracité de ces paroles m'a été prouvée au cours de mon expérience, car dans la mesure où je me suis sincèrement efforcé de remplir les conditions nécessaires pour qu' “aucun bien” ne me soit refusé, j'ai été affranchi de l'habitude de fumer que j'avais depuis nombre d'années, puis à deux reprises guéri presque instantanément de l'influenza alors que le mal semblait aigu, et je suis sorti sain et sauf de quatre années de guerre, y compris mon service militaire dans la Somme et en Palestine.

Il n'existe pas de paroles suffisantes pour exprimer ce que la Science Chrétienne signifie pour moi. La première fois que j'en ai entendu parler, on me disait seulement que le mal n'existait pas, et, à ce moment-là, il me paraissait sous bien des formes très réel autour de moi.

En 1908, un spécialiste pour les yeux m'annonça que je perdrais la vue. Je souffrais beaucoup à ce moment-là, mais, grâce à l'étude et à l'application que j'ai faites de la Science Chrétienne, maintenant ma vue est normale et je n'ai pas besoin de porter de lunettes.

Je voudrais témoigner des bienfaits que j'ai reçus de la Science Chrétienne. J'y ai eu recours depuis sept ou huit ans, et j'ai été guérie de la constipation, de rhumatismes et d'autres maux.

A onze ans, je souffrais d'une déviation de l'épine dorsale, résultant d'une grave chute. En dépit des soins que me donnèrent plusieurs docteurs durant bien des années, le mal s'aggrava de plus en plus.

En novembre 1905, une tempête éclata sur le lac Supérieur et causa de grands dégâts sur toute la côte nord. De grandes vagues balayèrent le bas de la ville où j'habitais, et l'on dut opérer le sauvetage au moyen de bateaux.

A la fin de mars 1925, je fus prise de violentes crises dans le rein droit. Après avoir essayé bien des traitements, piqûres, etc.

En mai 1923, je tombai soudainement malade. Je consultai un médecin qui déclara que je souffrais d'un catarrhe pulmonaire.

Un jour, notre petit garçon âgé de deux ans se plaignit d'être malade. Au premier abord je n'y fis pas attention, mais lorsqu'une forte fièvre se déclara, nous appelâmes un médecin.

Je désirerais exprimer ma reconnaissance à la Science Chrétienne, car elle a été et elle continue à être d'un grand secours pour moi et pour les miens. Je connais la Science Chrétienne depuis trois ans et demi.