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Témoignages

Un jour, notre petit garçon âgé de deux ans se plaignit d'être malade. Au premier abord je n'y fis pas attention, mais lorsqu'une forte fièvre se déclara, nous appelâmes un médecin.

Je désirerais exprimer ma reconnaissance à la Science Chrétienne, car elle a été et elle continue à être d'un grand secours pour moi et pour les miens. Je connais la Science Chrétienne depuis trois ans et demi.

Il y a quelques années il ya eut un problème à résoudre dans une église de la Science Chrétienne, dont je faisais partie. J'y travaillai,— non avec amour, mais avec de la haine et du ressentiment dans la pensée.

Ayant le cœur plein de gratitude, je suis heureux des miracles que Dieu a faits pour moi, car je me sentais si souffrant et malade qu'aucun médecin ne pouvait me venir en aide. Une grave maladie d'estomac m'avait tellement amaigri que je n'étais plus qu'un squelette.

Durant quatorze ans avant d'étudier la Science Chrétienne, j'étais une épave au point de vue physique. Ayant une maladie d'estomac et des troubles nerveux, je ne passais jamais un jour sans souffrir et pendant les trois dernières années de cette période, des rhumatismes arthritiques m'avaient rendue infirme.

Étant désireuse de venir en aide à mes compatriotes, je suis heureuse de pouvoir donner un témoignage de tous les bienfaits que j'ai reçus depuis que je connais la Science Chrétienne. Je citerai d'abord la guérison d'une vue défectueuse dont la médecine avait déclaré l'incurabilité.

Il y a cinq ans et demi, j'étais ébranlée mentalement et physiquement. Selon les médecins je souffrais de la tuberculose, et ils ne me donnaient que peu de temps à vivre.

J'ai souffert pendant des années d'une maladie incurable que les docteurs appelaient la tuberculose des os. Elle commença aux deux bras, aussi je ne pouvais ni travailler ni faire autre chose.

On attira mon attention sur la Science Chrétienne pour la première fois en Angleterre, en 1916, lorsque j'étais engagé dans la marine anglaise. Peu après je tombai gravement malade, et fus conduit à un hôpital maritime, mais grâce au traitement d'une affectueuse praticienne je fus rapidement guéri, et pus reprendre mon service plus tôt qu'on ne s'y attendait.

En octobre 1917, alors que pendant des mois j'avais presque toujours été alitée, atteinte, d'après de nombreux médecins, de la tuberculose des poumons, je souffrais beaucoup, et chaque nuit je pensais ne pas voir le matin. J'étais dans cette grande crainte quand on m'apporta un opuscule de la Science Chrétienne.

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