
Témoignages
En envoyant mon témoignage aux périodiques de la Science Chrétienne, je désire prouver ma reconnaissance pour la guérison de ce que le diagnostic médical appela un fibrome ou un carcinome. En février 1922, je me relevai d'une forte grippe avec une maladie de cœur.
Depuis dix-huit ans et plus, la Science Chrétienne est mon seul médecin; pendant cette période, j'ai eu bien des guérisons physiques, les unes instantanées ou très promptes, les autres beaucoup plus lentes. Parmi les maux qui ont été guéris, je mentionnerai l'indigestion, la constipation chronique, l'influenza, un empoisonnement par la ptomaïne, l'usage du tabac sous sa forme la plus mauvaise, et le goût pour les boissons alcooliques.
Pendant bien des années, le pouvoir apparent du péché et de la maladie me firent tant souffrir que j'étais presque désespéré. Je désirais sincèrement devenir meilleur, et pourtant j'allais de mal en pis.
Depuis nombre d'années, la Science Chrétienne est mon seul médecin. J'appris d'abord à la connaître par la merveilleuse guérison de ma mère.
Je désire exprimer ma profonde reconnaissance pour tous les bienfaits reçus grâce à la Science Chrétienne. C'est par une guérison merveilleuse que j'appris d'abord à connaître cette Science.
J'étais toute petite lorsque la Science Chrétienne nous fut présentée par un ami en séjour chez nous, mais je me rappelle que mes parents discutèrent ce sujet avec lui pendant bien des soirées. Là-dessus, ils achetèrent le livre de texte de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, et le lurent avec zèle pendant quelque temps; mais il paraît que le désir de connaître la vérité n'était pas assez fort pour provoquer une étude sérieuse, car le livre fut mis de côté durant plusieurs années.
La reconnaissance me pousse à rendre témoignage de ce que la Science Chrétienne a fait pour moi. A la suite d'un accident survenu il y a sept ans, je souffris d'une forte inflammation de la colonne vertébrale.
Il y a plus de quinze ans, la Science Chrétienne me fut présentée et le dimanche suivant je me rendis au culte. Au moment où j'entrais à l'église, je me sentais bien malheureuse, envahie par la crainte.
C'est afin de donner un peu d'espoir et de courage aux jeunes gens qui traversent la sombre vallée de la maladie, comme je l'ai traversée moi-même, que j'écris ce témoignage de guérison et de reconnaissance. J'étais dans un état désespéré lorsqu'en novembre 1929, on me présenta la Science Chrétienne.
Je suis reconnaissante de ce que la Science Chrétienne a fait pour moi. En 1918, après avoir eu la grippe et une double pneumonie, je rentrai de l'hôpital atteinte de tuberculose.