Témoignages
Rempli d'une profonde reconnaissance, j'aimerais raconter une guérison que j'ai eue par la Science Chrétienne. Je souffrais d'enflure dans la bouche, et en ma qualité d'employé, je dus consulter un docteur pour obéir aux règlements.
Bien souvent j'avais lu ces paroles: « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira; » mais je n'en saisis la portée qu'après avoir entrepris l'étude de la Science Chrétienne. Il y avait plusieurs années que je souffrais de bien des choses.
Depuis plus de vingt ans, la Science Chrétienne m'a sauvé, ainsi que ma famille, des maladies les plus diverses. Auparavant, nous étions, mes parents et moi, des païens qui adoraient plusieurs esprits.
Il y a neuf ans, lorsque nous étions dans une grande détresse, Dieu nous conduisit à la Science Chrétienne. Notre garçon âgé de deux ans était couché depuis six mois à l'hôpital, souffrant d'une blessure au côté longue de dix centimètres, et de deux plaies au genou.
Ce qui suit montrera quelle reconnaissance je dois à Mrs. Eddy pour les nombreuses guérisons que ma famille et moi-même avons eues par la Science Chrétienne.
J'éprouve une profonde reconnaissance envers Dieu et envers notre chère Leader au sujet de ma guérison qui remonte à vingt-deux ans ou davantage. Trois des meilleurs médecins de notre ville m'avaient dit que je n'en avais plus que pour quarante-huit heures environ.
Vers la fin de l'année 1930, j'eus d'après le diagnostic médical une attaque de paralysie. Ce matin-là, j'étais allée au salon pour m'y vêtir, parce que cette chambre était la mieux chauffée; et pendant que je m'occupais du calorifère, je tombai soudain et ne pus me relever.
A la page 179 du livre de texte de la Science Chrétienne, Mrs. Eddy écrit: « La Science peut guérir les malades, qu'ils soient loin ou près de leurs guérisseurs, puisque l'espace n'est pas un obstacle pour l'Entendement.
La joie et la reconnaissance que m'inspirent tous les bienfaits reçus grâce à la Science Chrétienne m'engagent à écrire ce témoignage. En 1913, je souffrais tant de rhumatisme articulaire que par intervalles j'étais incapable de marcher seul.
C'est avec joie et reconnaissance envers la Science Chrétienne que je témoigne de la belle démonstration obtenue grâce à la Vérité. Quand notre fillette se fut cassé le bras, je me soumis aux exigences de la loi qui rend l'assurance infantile obligatoire, et fis venir le docteur.