
Témoignages
En 1913 je retrouvai une amie que je n'avais pas vue depuis plusieurs années. J'appris qu'elle étudiait la Science Chrétienne, et sur son invitation j'allai à une réunion du mercredi soir.
La Science Chrétienne me fut présentée pendant la deuxième Guerre mondiale; j'avais alors grand besoin d'un autre secours que les choses matérielles où par suite des circonstances j'avais cru trouver un appui. Le cynisme et une philosophie fondée sur l'économique m'avaient rendu pessimiste au sujet du monde et j'avais l'impression d'être sans force.
Qu'elle est grande la bonté du Seigneur! A une époque de profonde détresse, on attira mon attention sur la Science Chrétienne. J'étais paralysé des jambes et les docteurs ne me donnaient aucun espoir.
Voici plus de trente-quatre ans que je fréquente une Église du Christ, Scientiste; pendant tout ce temps j'ai pu me rendre chaque jour au travail et je n'ai jamais manqué du nécessaire. A quatorze ans j'avais dû quitter l'école pour aider à faire vivre la famille.
Dès mon enfance l'on m'avait appris à aimer Dieu et je prenais part au travail de l'église. J'étais adolescente lorsque ma mère commença l'étude de la Science Chrétienne.
Grâce aux enseignements de la Science Chrétienne, j'ai reçu de grands bienfaits dont je suis reconnaissante. Avec l'aide d'une praticienne dévouée je fus complètement guérie d'une faiblesse de l'estomac et des intestins.
« Mon âme, bénis l'Éternel, et n'oublie aucun de ses bienfaits! » (Ps. 103:2.
J'avais à peine huit ans, et déjà ma mère avait subi deux opérations; les docteurs disaient qu'une troisième était nécessaire, mais ils craignaient qu'elle ne la supporte pas car elle était très faible. A cette heure si sombre, une voisine parla de la Science Chrétienne à ma mère.
Depuis quelque vingt ans la Science Chrétienne est mon guide au double point de vue mental et physique. Grâce à elle le problème des ressources s’est résolu.
Voici bien des années, l’on me donna Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, en me disant que ce livre guérit la maladie comme Jésus l’avait fait, et qu’en n’importe quelle circonstance il est d’un grand secours. Cette remarque fit naître chez moi un vif intérêt et tous mes moments de loisir furent consacrés à la lecture.