Témoignages
En juillet 1947, comme j'assistais à la réunion du mercredi soir dans une Église du Christ, Scientiste, à l'ouest des États-Unis, je fus délivré d'un esclavage qui durait depuis trente ans — l'habitude de fumer la cigarette. Il y avait à peine douze mois que je m'étais mis à fréquenter les cultes dans diverses églises Scientistes Chrétiennes, filiales de L'Église Mère.
Paul écrit (I Cor. 2:9): « Ce sont des choses que l'œil n'a point vues, que l'oreille n'a pas entendues, et qui ne sont pas montées au cœur de l'homme, mais que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment.
Je me tournai vers la Science Chrétienne non pour la guérison d'une maladie, mais parce que je cherchais une religion logique qui puisse se prouver — qui répondrait à mes besoins. J'étais allée successivement dans diverses églises, lorsqu'une amie me proposa d'assister avec elle au culte dans une Église du Christ, Scientiste.
Je désire exprimer ma profonde gratitude envers Dieu au sujet de la Science Chrétienne. Avec la perte de ma chère maman, les malheurs semblaient s'acharner sur moi.
Par ce témoignage, je désire exprimer ma profonde gratitude de ce que la Science Chrétienne a résolu dans notre cas le problème de la pénurie. Pendant la deuxième Guerre mondiale, pour notre famille la question des ressources devint si sérieuse qu'une pauvreté absolue semblait inévitable.
Je rends sincèrement grâces à Dieu au sujet de Mrs. Eddy.
J'apprécie beaucoup la joie, le bonheur, la paix, les guérisons que la Science Chrétienne apporte constamment à nous et à d'autres Scientistes Chrétiens dans toutes les parties du monde. Il a été prouvé mainte et mainte fois que la Vérité est le seul pouvoir; aussi suis-je bien étonnée que nous ayons encore des craintes et ne soyons pas sûrs que tout va bien.
Je tiens à dire combien je suis reconnaissante d'avoir été guérie d'une impression d'isolement, lorsque je vins pour la première fois en Amérique voici quelque six ans. Cette impression de solitude remonte à l'époque où j'étais écolière en France, et s'accrut encore lorsque mon père mourut.
Il y avait bien longtemps, je souffrais de tuberculose et les médecins m'avaient conseillé d'aller vivre sous un autre climat. J'étais au plus mal et les docteurs ne me donnaient nul espoir.
A une certaine époque je souffrais de rhumatisme et je ne pouvais bouger les bras. Quinze années plus tôt, un docteur m'avait dit: « C'est un héritage que vous a laissé votre père et que vous avez dans le sang.