
Témoignages
Nous avons eu dans notre famille de nombreuses preuves combien le traitement par la Science Chrétienne Christian Science: Prononcer 'kristienn 'saïennce. est efficace pour guérir toutes sortes d'inharmonies.
La Science Chrétienne entra dans notre foyer à une époque où nous en avions grand besoin. Mon frère était décédé quelques jours après une opération et on m'avait informée que je devais subir une opération identique.
Jésus étonna grandement Nicodème lorsqu'il lui dit: « En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jean 3:3). La guérison par la Science Chrétienne est l'une des manifestations de la nouvelle naissance de l'homme, la naissance spirituelle.
Au cours de l'été 1964, alors que j'étais dans un camp, je fus infectée gravement par une plante vénéneuse. L'année suivante, quand le moment vint de retourner au camp, j'eus peur de contracter à nouveau cette infection.
Je désire particulièrement exprimer ma gratitude pour les progrès spirituels dus à une guérison que j'ai eue il y a environ deux ans. J'étais tombé d'un scooter et en glissant sur la chaussée je m'étais ouvert le côté droit du visage.
« Ceux qui se confient en l'Éternel renouvellent leur force » (Ésaïe 40:31). Agée et malade selon le sens humain, j'allai à la montagne, et je fis connaissance d'une gentille dame qui me prêta des ouvrages sur la Science Chrétienne.
C'est avec un cœur reconnaissant que je pense à Mrs. Eddy, qui a révélé à l'humanité la vérité promise par notre Guide, Christ Jésus.
J'écris ce témoignage avec une immense gratitude non seulement pour les guérisons qui y sont relatées, mais pour quelque chose de beaucoup plus important, la disparition de vieilles croyances. Comme le dit Mary Baker Eddy à la page 324 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, « le bonheur de dépasser les fausses limites et la joie de les voir disparaître, — voilà la disposition d'esprit qui aide à hâter l'harmonie ultime.
Je connus la Science Chrétienne en 1956. J'avais souffert pendant environ trois ans de la fièvre de Malte et les docteurs m'avaient dit que je n'en guérirais jamais complètement.
Pendant environ deux ans, j'ai eu mes mains couvertes de verrues, mais je ne fis pas grand- chose pour m'en débarrasser. Un jour, un de mes amis, qui n'est pas Scientiste Chrétien, se fit enlever quelques verrues par un docteur, qui dut les brûler.