Témoignages
Lorsque j'étais adolescente, je souffrais d'attaques effrayantes qui se traduisaient par des périodes d'inconscience durant parfois de quelques minutes à une heure. Ces attaques me laissaient physiquement épuisée et mentalement désemparée.
Dans les années soixante, un de nos enfants tomba gravement malade et le médecin ne put nous aider. A un certain moment, ma femme, bouleversée, se rendit en toute hâte chez une voisine pour téléphoner au médecin.
Un jour, alors que je rentrais chez moi après avoir nagé, mon pied commença à me faire souffrir. J’étais avec une amie qui fréquente, comme moi, l’École du Dimanche de la Science Chrétienne.
La Science Chrétienne m’a guéri après que j’eus souffert de l’asthme pendant des années. Mes parents dévoués employèrent des médicaments aussi nombreux que variés pour essayer de m’aider, mais sans aucun résultat.
Je suis un étudiant de la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) depuis environ cinq ans. Je suis un membre reconnaissant de L’Église Mère à Boston, Massachusetts, et de Première Église du Christ, Scientiste, Accra, Ghana.
Il y a des années, mon mari m'abandonna avec cinq enfants en bas âge. Ses affaires étaient lourdement grevées de dettes et nos dettes personnelles étaient également écrasantes.
Il y a environ dix-huit ans, j'entendis parler de la Science Chrétienne par une proche amie, notre voisine. Très souvent nous nous rendions de courtes visites pendant la journée.
Après avoir été membre de L'Église Mère pendant plus de vingt ans, je voudrais exprimer ma sincère gratitude pour l'amour et la grâce dont j'ai été si richement pourvue au sein de cette grande famille. Les précieuses Leçons bibliques indiquées dans le Livret Trimestriel et toutes les autres publications de la Science Chrétienne sont notre pain quotidien.
On cherche souvent très loin ce qui est à portée de la main. Dans mes jeunes années, la Bible était pour moi un livre totalement inconnu.
J'ai trouvé la Science Chrétienne alors que je ne désirais plus vivre. Autour de moi, je voyais seulement la tristesse, l'anxiété d'un monde en quête de lui-même, plein de questions sans réponses.