
Témoignages
Peu après le début de l'école, il y a deux ans, l'institutrice de première année de notre fille m'appela pour me dire que notre enfant participait très peu à la classe et semblait tout à fait différente de ses camarades. L'institutrice sentait aussi que notre petite fille avait de sérieuses difficultés à apprendre, ce qui allait l'empêcher de progresser normalement à l'école.
Il y a environ quinze ans, j'eus à faire face au verdict de mon médecin, qui me dit qu'il n'existait pas de nouveaux médicaments qu'il pût prescrire pour me guérir de l'asthme: il ne pouvait plus rien faire pour moi. Je souffrais de ce mal depuis de nombreuses années et aucun des moyens que j'avais employés, y compris les médicaments et la physiothérapie, ne m'avaient apporté la guérison.
Je voudrais confirmer le témoignage de ma mère, car c'est de moi qu'il s'agissait. Je sens que j'ai reçu le don le plus précieux, la Science Chrétienne, la « perle de grand prix ».
Il y a dix-huit ans, ma vie changea complètement de direction. Ce fut au moment de la naissance de notre fille.
La Science Chrétienne est venue accomplir sa mission curative dans notre foyer il y a bien des années; notre fils était alors âgé de huit ans. Il souffrait et ne pouvait marcher.
Il y a bien des années, je fus libéré de la souffrance grâce à la Science Chrétienne. Traitements médicaux, homéopathiques et électrothérapeutiques pendant une période d'un an et demi n'avaient apporté aucun soulagement à un mal chronique du nerf sciatique.
Lorsque je me mariai, en 1917, je cessai de fréquenter l'église à laquelle j'appartenais à ce moment-là. Très peu de temps après, je fus troublée par ce que seraient, selon certains, les conséquences d'avoir quitté cette église — si troublée que je ressentais très peu de liberté ou de joie.
Je connais la Science Chrétienne depuis mon plus jeune âge. Une de mes tantes était praticienne de la Science Chrétienne, et Science et Santé et les autres œuvres de Mrs.
Au début, je ne me suis intéressée à la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) que pour être guérie. Je n'avais jamais imaginé que l'étude et le fait d'aller à l'église signifieraient quelque chose pour moi.
Alors que mon mari était atteint d'une maladie grave et douloureuse, je devais lui faire chaque jour des piqûres de morphine pour le soulager. Ensuite le médecin déclara qu'il était morphinomane et refusa de lui refaire une ordonnance, afin de l'obliger à se faire hospitaliser.