Témoignages

Un Jour, je faisais la queue à la caisse d'un supermarché, et mon sac à main était posé sur mes achats dans le caddie. J'ai tourné la tête quelques secondes pour regarder autre chose et, lorsque j'ai voulu prendre mon sac, il n'était plus là.

Un Dimanche Matin, notre fille aidait son père à préparer le petit déjeuner dans la cuisine lorsque, soudain, elle a poussé un cri. En utilisant le couteau électrique pour couper le pain, elle s’était profondément entaillé l’index de la main gauche, si bien que l’ongle était fendu dans sa longueur.

De Toutes Les Bonnes choses que m’a données ma famille, la Science Chrétienne est la plus merveilleuse. Quand j’avais deux ans et demi, j’ai trouvé moyen d’enfoncer ma barrette dans une prise de courant.

Au cours des années qui se sont écoulées depuis mes premiers pas en Science Chrétienne, j’ai reçu avec reconnaissance de nombreux bienfaits. J’aimerais parler ici de trois guérisons.

J’ai Élé Élevée dans la Science Chrétienne et, pendant mon enfance, j’ai toujours été heureuse et en bonne santé. Lorsque notre fille aînée est entrée à l’école maternelle, cependant, nous avons eu de graves difficultés.

Il M'arrive D'oublier ce que représente la Science Chrétienne, jusqu'à ce qu'un incident me rappelle fort à propos les effets merveilleux qu'elle a sur ma vie. Il y a peu, je suis allée chez le dentiste pour un détartrage.

Un Jour, à l'âge de cinq ans, je jouais dans un entrepôt avec mon père. En redescendant du grenier à l'aide d'une échelle, j'ai perdu l'équilibre et je suis tombé d'une hauteur de deux étages sur le sol en ciment.

Notre Fille n'a pas encore dix ans. Elle fréquente régulièrement l'école du dimanche de la Science Chrétienne.

Un Grand Merci à tous ceux qui écrivent pour les périodiques de la Science Chrétienne. Les récits de guérison encourageants et les articles vivifiants apportent tant d'espoir à l'humanité et correspondent si bien à mes propres besoins que je me sens à mon tour poussée à offrir un témoignage.

Pendant Environ Deux Ans, j’ai été très consciente d’une tache que j’avais au visage, et je pensais que tous ceux qui me voyaient l’étaient aussi. Les adultes faisaient preuve de tact et posaient peu de questions, mais les enfants, et surtout mon petit-fils, avaient tendance à me fixer et à demander: « Qu’est-ce que tu as là ? » Un jour, à l’église, j’ai été poussée à répondre à une petite fille: « C’est quelque chose que j’aimerais chasser.