Un matin de l’année dernière, au plus fort de la pandémie de COVID-19, je me tenais dans ma cuisine et je nettoyais joyeusement la vaisselle lorsque j’ai été soudainement prise de vertiges et de nausées. Je me suis tenue au comptoir pour ne pas tomber, puis j’ai couru vers la salle de bain et je suis tombée par terre.
Alors que j’étais étendue là, à me demander ce qui pouvait causer ce malaise, une pensée m’est venue clairement : « Ceci, ce n’est pas moi ! Debout ! Dieu t’a donné la domination. » J’ai commencé à me relever en affirmant à voix haute : « Ce n’est pas moi. Je suis l’enfant du Très-Haut, Dieu, qui seul me gouverne, en parfaite santé et en parfaite harmonie. Rien ne peut envahir l’espace de Dieu, car Il est partout, et Sa bonté est toute-puissante. » Je savais que c’était plus que de simples paroles positives, car elles incluaient la conviction spirituelle qui m’assurait que Dieu était là avec moi, me soutenant et me fortifiant.
J’ai résolu de ne pas enfreindre le Premier Commandement : « Tu n’auras point d’autres dieux devant ma face » (Exode 20:3), par la crainte – ou la croyance – qu’une autre puissance me rende malade. Dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy écrit : « L’omnipotence a tout pouvoir, et reconnaître quelque autre pouvoir c’est déshonorer Dieu. » (p. 228)
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