En général, j’avais une heure de route pour me rendre à mon travail. Au début du trajet, je me préparais pour la journée en priant, traitant parfois quelque chose de spécifique dans ma propre pensée, ou bien des problèmes qui avaient cours dans le monde, et dont je ressentais le besoin de m’occuper par la prière.
Un matin d’hiver, il y a cinq ans, je me suis tournée vers Dieu tout en conduisant, pour avoir une idée plus claire de ma nature spirituelle en tant qu’enfant de Dieu, cherchant à comprendre plus clairement ce qu’enseigne la Science Chrétienne au sujet de l’homme (c’est-à-dire chacun d’entre nous) qui est spirituel, non matériel. Ce faisant, j’ai ressenti une plus grande paix et une plus grande confiance dans la réalité de mon être en tant qu’enfant de Dieu.
Chaque fois que je pensais avoir fini de prier et que je m’apprêtais à allumer la radio ou à penser à autre chose, je ressentais aussitôt le besoin de prier encore, d’autant plus que la route était dangereuse du fait d’un hiver inhabituellement rigoureux. Soudain, j’ai heurté une plaque de verglas près du bord de la route, et j’ai perdu le contrôle de mon véhicule qui a été projeté de l’autre côté de la voie. J’ai heurté l’arrière d’une autre voiture puis une congère le long de la route à droite. Sous le choc, ma voiture a été propulsée dans les airs avant d’atterrir dans la forêt, où elle a fait quelques tonneaux avant de s’immobiliser sur le toit.
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