L’intercommunication se fait toujours de Dieu à Son idée, l’homme.
—Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 284
Les gens qui parlent une langue étrangère par nécessité, ou simplement par plaisir, aspirent souvent à avoir très peu d’accent, voire même à ne pas en avoir du tout, c’est-à-dire à ne pas voir s’interposer les inflexions et les rythmes de leur langue maternelle.
Cependant, il y a une autre façon d’interpréter l’idée de communiquer sans accent étranger. On peut y voir la capacité de transmettre avec efficacité un message sur un sujet quelconque, à des personnes de tous âges, ou dont les origines, la culture, le milieu et le passé sont très divers, en parlant, pour ainsi dire, une « langue » qu’elles comprennent. Il s’agit de communiquer d’une manière qui ne provoquera pas de résistance, mais touchera les gens là où ils en sont dans leur vie, et leur fera même du bien. On acquiert cette faculté en comprenant que toute vraie communication commence par Dieu, l’Amour qui embrasse tout, qui sans cesse révèle, déroule et interprète Sa volonté et Son plan pour l’harmonie de la création.
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