Un soir, je regardais la télévision lorsqu’une publicité pour des médicaments contre la grippe est passée. Pas longtemps après, je suis tombé malade en présentant les symptômes décrits dans la pub. J’ai éteint la télé et je me suis couché, en espérant que je me sentirais mieux quand je me réveillerais. Mais quand j’ai ouvert les yeux le lendemain matin, le mal de tête dont je souffrais avant d’aller dormir était toujours là avec une sensation désagréable dans l’estomac.
A l’école du dimanche de la Science Chrétienne, j’apprends que je suis spirituel, l’expression pure de Dieu, qui est la Vérité et l’Amour. Alors je savais que cette image de maladie, ce n’était pas mon moi réel, parce que l’expression pure de l’Amour ne pouvait pas en même temps inclure quelque chose de mauvais. Je savais aussi que mon identité spirituelle et parfaite ne pouvait pas être affectée par des suggestions négatives, comme celles que j’avais entendues pendant la pub. J’ai décidé de lire la Bible et Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy pour comprendre cela plus clairement.
Après avoir été inspiré par ces deux livres, je me suis dit que j’allais prier un peu avant d’aller dormir. Et la première idée qui m’est venue a été le psaume 23. J’avais l’impression que Dieu me parlait directement à travers les mots guérisseurs du psaume. La partie qui m’a vraiment frappé, c’est celle-ci : « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ta houlette et ton bâton me rassurent. » (verset 4)
J’ai réfléchi à la façon dont cela pouvait se rapporter à ma situation. La « vallée de l’ombre de la mort » pourrait être la fausse croyance de la maladie, et la « houlette » et le « bâton » pourraient être les messages de Dieu qui me parlent doucement et me guident de la façon dont un berger guide son troupeau. Cette pensée m’a réconforté et j’ai pu me rendormir.
Quand je me suis encore réveillé un peu plus tard, je me sentais beaucoup mieux, mais pas complètement guéri. Alors je me suis replongé dans Science et Santé. La première chose qui m’a sauté aux yeux, c’est cette phrase : « La maladie est une image de pensée extériorisée. » (p. 411) J’ai passé un long moment à essayer de trouver la signification de cette idée et tout à coup c’est devenu évident. L’ « image de pensée extériorisée », c’était la pub et elle était « extériorisée », remontée à la surface, en raison de ma croyance. J’ai prié afin de voir que je ne peux pas être gouverné par la suggestion affirmant qu’il existe un pouvoir ou une vie en dehors de Dieu. Je me suis rendormi et quand je me suis réveillé, j’étais complètement guéri !
Je suis infiniment reconnaissant pour cette merveilleuse expérience et les leçons que j’en ai tirées. Le psaume 23 est l’un de mes textes préférés, et ses effets guérisseurs sont étonnants.
