Notre église, qui est une église filiale de La Première Eglise du Christ, Scientiste, se réduisait au fil du temps. Nous n’étions plus qu’une poignée de membres, et nous n’avions plus le feu sacré. La dissolution semblait imminente.
A l’époque, ma vie était pleine de possibilités nouvelles et de signes prometteurs. Mais mon église semblait décliner. Je ne pouvais accepter ce déséquilibre ; il n’était pas conforme à ce que j’avais appris en étudiant la Science Chrétienne qui nous assure que « le progrès est la loi de Dieu » (Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 233). Pour moi, cela a toujours voulu dire qu’il ne saurait y avoir de progrès dans un domaine de la vie et non dans un autre, car cela ne concorderait pas avec la loi de Dieu. La loi divine de la Vie gouverne l’homme, et cette Vie n’est pas fragmentée, compartimentée ni déséquilibrée, mais elle se reflète dans le bien indivisible.
D’autre part, pendant des décennies notre église avait été une source de bienfaits pour les membres y compris moi-même ; et un grand nombre d’habitants du voisinage avaient exprimé leur gratitude pour sa présence dans le quartier. J’étais sûre que ce qui représentait une bénédiction pour l’humanité ne pouvait jamais être entravé ni fermé, puisque les lois de Dieu soutenaient et maintenaient Ses propres idées.
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