« L’exposé scientifique de l’être » de Mary Baker Eddy – l’affirmation retentissante de la totalité de l’Esprit et du néant de la matière –constitue le paragraphe le plus révolutionnaire jamais écrit par l’homme.
Cette déclaration en six phrases et soixante-dix-huit mots, que l’on doit à celle qui a découvert et fondé la Science Chrétienne (voir Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 468), contient l’essence même de la Science Chrétienne, et constitue le fondement sur lequel repose toute la théologie de cette Science. Comme l’histoire le montre, cet exposé n’a pas été écrit sur un coup de tête ni sans une profonde réflexion de la part de Mary Baker Eddy quant à l’accueil qu’il recevrait très certainement dans un monde imprégné du matérialisme scientifique de l’époque, fondé sur l’incompatibilité apparente entre religion et science (voir ibid., p. 268).
Comme le raconte l’un de ses élèves, Mary Baker Eddy était consciente des implications profondes de ce qu’elle écrivait, car elle savait que cet exposé radical irait à contre-courant de tout ce qui semblait si évident et si logique au sens humain, y compris pour elle-même dans un premier temps.
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