A tous ceux d’entre nous qui vivent en région urbaine, il est demandé d’être vigilants, d’alerter les autorités en cas de colis suspect ou de comportement étrange. Or, qu’en est-il de notre pensée ? L’étude de la Science Chrétienne nous apprend en effet que ce que nous pensons détermine ce que nous acceptons dans notre vie. Je veux dire par là que si nous manquons de vigilance et laissons la peur ou le sentiment d’insécurité envahir nos pensées, sans les contredire par la prière, nous acceptons la possibilité du danger pour nous-mêmes et pour les autres.
Nous avons donc une responsabilité envers notre propre bien-être, envers le monde et notre prochain. Mary Baker Eddy l’a formulé ainsi : « Le scientiste chrétien s’est engagé à faire diminuer le mal, la maladie et la mort ; et il en triomphera en comprenant leur néant et la totalité de Dieu, le bien. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 450)
Vous est-il déjà arrivé de vous trouver dans une situation, comme celle que décrit l’auteur de notre éditorial du mois « La paix comme un fleuve », où vous pouvez dire que vos prières ont eu un impact positif ? Prendre sincèrement conscience du néant du mal et de la totalité du bien peut contribuer à apporter le calme et la sérénité, là où règnent la tension et la discorde.
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