Quand ma nièce avait sept ans, elle a remarqué que j’étais « joyeuse même quand il n’y avait vraiment pas de quoi ! » En fait, les réunions de famille me donnaient toujours de bonnes raisons d’être heureuse, mais j’ai apprécié sa remarque. J’ai également été contente qu’elle se rende compte que la joie ne dépendait ni de circonstances ni d’événements particuliers.
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