En cette saison de Noël, célèbre l’esprit plein de vitalité du Christ avec deux collections conçues spécialement pour toi! Composées d’articles pour les jeunes et pour les enfants publiés dans le Héraut de cette année, ces collections te sont offertes avec leur propre couverture et leur propre table des matières. Nous te les offrons en cadeau ! Tu peux les télécharger et les imprimer librement à partir de Herald-Online :
http://herald.christianscience.
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Un jour, je suis allé à la piscine municipale avec maman et ma sœur Sophie. Ma sœur et moi avons décidé d’aller ensemble sur le toboggan. Quand mon tour est arrivé, je me suis tenu à la barre, au-dessus du toboggan, en attendant que le signal vert m’indique que je pouvais y aller. Je me suis penché en arrière pour prendre de l’élan, et au moment où je me suis lancé, j’ai violemment heurté mon front contre la barre. J’ai tout de suite senti que je m’étais blessé. Sophie et maman m’attendaient en bas du toboggan. Le surveillant de la piscine m’a envoyé à l’infirmerie, en disant qu’il allait nous rejoindre tout de suite.
En l’attendant, j’ai prié avec maman. Elle m’a rappelé qu’il n’y a pas d’accidents dans l’univers de Dieu. Je connais bien cette phrase de Mary Baker Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures: «Sous la Providence divine, il ne peut y avoir d’accidents, puisque dans la perfection il n’y a pas de place pour l’imperfection.» (p. 424) Nous étions tout à fait sûrs que j’avais toujours été sous la Providence divine, le plan divin de Dieu. Et le plan plein d’amour de Dieu ne comprend jamais rien d’imparfait, comme une blessure. On a aussi pensé que le mal, sous tous ses aspects, n’a aucun pouvoir puisque Dieu est bon et qu’Il remplit tout l’espace. Avec Dieu, il n’y a de place que pour le bien.
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