Je suis en train d'écrire par une chaude nuit d'été, en goûtant la bouffée d'air frais qui entre par la fenêtre ouverte et qui porte jusqu'à mes oreilles le chant des grillons, le bruissement des ailes des lucioles et le frémissement des feuilles. Les arbres massifs et vigoureux qui portent ces feuilles n'offrent pas de résistance au vent puissant qui les oblige à se balancer ensemble, comme les vagues de l'océan.
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