En 1930, j'entendis parler de la Science Chrétienne, depuis j'ai eu tant de démonstrations et de guérisons que je suis heureuse d'écrire ce témoignage.
Ma gratitude pour la guérison de coliques néphrétiques est impossible à décrire. Alors que je souffrais d'une deuxième attaque dans la même semaine, une chère amie vint me rendre visite, et voyant ma grande détresse, me donna l'adresse d'une praticienne à qui je demandai de m'aider. La praticienne me traita, m'envoya un exemplaire du Héraut de la Science Chrétienne et me demanda de lire chaque jour le Psaume quatre-vingt-onze.
Au bout de quelques jours, je pouvais de nouveau me lever sans employer de médicaments et sans suivre un régime; je n'ai plus jamais souffert de ces attaques. Je puis affirmer en toute sincérité que depuis cette époque, Dieu a été mon seul médecin et la Science Chrétienne mon seul remède.
Depuis, j'ai eu de nombreuses guérisons, dont plusieurs furent instantanées. Il y en a une, en particulier, que j'aimerais relater. Un soir d'hiver, je renversai de l'eau bouillante sur ma main. La suggestion me vint de vite enlever ma bague avant que mes doigts ne commencent à enfler, et je commençai à l'enlever.
Aussitôt je pensai aux paroles de Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 368): « L'erreur est une lâche devant la Vérité. Je laissai la bague et déclarai le néant de l'erreur jusqu'à ce que je sente la victoire. Le lendemain matin je fus heureuse de constater qu'il n'y avait pas la moindre trace sur ma main.
J'ai de nombreuses raisons de rendre gloire à Dieu. L'étude quotidienne des leçons bibliques données dans le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne, les bons articles de nos Hérauts et autres périodiques de la Science Chrétienne sont pour moi une aide efficace. Je désire exprimer ma sincère reconnaissance envers le Père plein d'amour, pour notre bien- aimée Leader, Mrs. Eddy, et pour la Science Chrétienne. — Caudéran (Gironde), France.
