Mon témoignage aurait dû être envoyé il y a longtemps, car je suis profondément reconnaissante au sujet de la Science Chrétienne qui au cours des années m'a fait tant de bien.
J'ai eu de nombreuses guérisons, notamment en ce qui concerne la scarlatine et l'habitude de fumer; celle-ci disparut lorsque j'eus été guérie de la scarlatine. Avant de connaître la Science Chrétienne, je désirais ardemment découvrir le vrai but de l'existence — comment être bon et faire le bien. Quand je me rendis compte que l'individualité réelle se trouve dans la Vérité divine, je me sentis heureuse et libre; ce fut un bonheur que je n'oublierai jamais. Dans le livre de texte Scientiste Chrétien, Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. 87), Mary Baker Eddy déclare: « Le vrai concept n'est jamais perdu; » en m'attachant à cette parole j'ai trouvé la force et de grandes bénédictions. La timidité fut en grande partie vaincue; sous ce rapport, la douce confiance de l'amitié prouvant la sollicitude de l'Amour, me fut d'une grande aide.
Dans l'espoir d'encourager autrui à persévérer en restant fidèle à la vérité jusqu'à ce que l'erreur se détruise, je citerai la guérison d'un mal qui datait de loin. En 1943, je fus guérie d'une tumeur dont je souffrais depuis sept ans. Je faisais mon travail métaphysique, mais par moments, comme la tumeur augmentait, j'étais assaillie par des craintes agressives. Je me posai cette question: « Consentirais-tu à une opération? » Je savais qu'en aucune circonstance je n'aurais recours à la médecine ou à la chirurgie. Quand cette suggestion se présenta: « Ce mal pourrait te tuer, » je répondis: « Et alors? Il me faudrait quand même encore résoudre le problème de l'être. »
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