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Avant de connaître cette religion de Vérité,...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1952


Avant de connaître cette religion de Vérité, mon existence paraissait vide. J'essayai de la remplir par toutes sortes de distractions, et les résultats furent la maladie et les souffrances. Un jour le docteur me dit que la maladie des reins dont je souffrais depuis plusieurs mois était incurable. Ma détresse fut grande; la vie me paraissait sans valeur et je résolus d'y mettre fin. Dans ce but je sortis et marchai avec beaucoup de peine jusqu'au jardin public assez proche. Étant très fatiguée, je m'assis sur le premier banc que je pus voir. Quelques enfants jouaient près de moi. Chacun récitait un rôle et j'entendis une fillette qui disait: « Pourtant je sais qu'il y a un Dieu! » Ces paroles me firent une grande impression et je les répétai plusieurs fois. Tout à coup je me souvins que dans une pension où j'avais demeuré, quelqu'un m'avait conseillé de me rendre à une réunion de témoignages et m'avait même donné l'adresse d'une praticienne. Cette jeune fille m'avait prise tout d'abord pour une Scientiste Chrétienne, car elle avait vu sur ma table Science et Santé, par Mrs. Eddy. C'était une amie suédoise qui m'avait donné ce livre; je ne le lisais pas mais je le gardais à cause de sa belle reliure. J'étais loin de penser qu'il deviendrait, en même temps que la Bible, le livre que je lirais le plus.

Je connaissais encore l'adresse de la praticienne, et cette pensée me vint: « Va la trouver maintenant. » Son bureau était tout proche et j'y fus bientôt. Je restai avec elle une demi-heure environ et quoique loin de comprendre tout ce qu'elle me disait, je me sentis bien réconfortée. Je pus certainement comprendre une chose, à savoir qu'il me fallait aimer mes ennemis même. Je sus aussi qu'il me fallait surveiller toutes mes pensées pour voir si elles étaient dignes d'être présentées à Dieu. Immédiatement je me mis à l'œuvre. J'eus mainte occasion d'appliquer ces nouvelles règles dans la pension où j'étais, car les conditions n'y étaient pas très harmonieuses. Le résultat fut convaincant. De toutes parts me vinrent des preuves d'amour. J'avais pris des remèdes, notamment de l'opium, mais je les détruisis. Cela ne me fut pas facile car les douleurs étaient quelquefois violentes. Mais je désirais obéir, être fidèle et ne compter que sur Dieu. J'allais régulièrement voir la praticienne, j'assistais aux cultes et aux réunions de l'église. La guérison fut lente, mais le jour vint où je me sentis tout à fait guérie. La profonde gratitude qui remplit alors mon cœur est inoubliable. Je résolus de consacrer ma vie à la Science Chrétienne et à son œuvre curative.

Cette guérison fut suivie de beaucoup d'autres. Un empoisonnement du sang fut surmonté, ainsi que des troubles mentaux et un gros abcès à la gorge.

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