Ce qui m'engage à écrire le témoignage suivant, c'est une sincère gratitude au sujet de la Science Chrétienne et de toutes les bénédictions que les miens et moi-même avons reçues en appliquant ce qu'elle enseigne.
Comme je savais que Dieu est la seule source de la santé, je fus guérie d'une typhoïde en 1942; plus tard, un sérieux accès de malaria fut réduit à son néant primitif lorsque nous réalisâmes la présence éternelle de l'Amour divin.
Quand les Japonais occupèrent Sumatra où nous résidions alors, la sollicitude divine nous fur prouvée plus que jamais. Souvent l'erreur voulut nous faire croire que nous n'avions plus d'argent pour nous procurer les vivres nécessaires, mais nous rejetions ce mensonge et l'aide venait toujours au bon moment, soit d'un côté soit d'un autre. « A celui dont le cœur est ferme tu assures la paix, une paix parfaite, parce qu'il se confie en toi. » Ces paroles d'Ésaïe (26:3) devenaient une réalité tangible chaque fois que nous reconnaissions Dieu comme le Tout-puissant, l'unique Providence. Nous nous attachâmes au fait que seul Dieu, l'Amour divin, gouverne, qu'Il a donc un pouvoir infini; aussi pûmes-nous survivre à des conditions jugées chaotiques.
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