Depuis longtemps je désire exprimer par le canal des périodiques ma reconnaissance envers la Science Chrétienne qui nous a révélé la vérité de l'être. Je m'intéressais beaucoup à l'église évangélique à laquelle j'appartenais, mais le jour vint où ses doctrines ne me satisfirent plus. C'est alors que ma femme entendit parler de la Science Chrétienne, et après avoir assisté à plusieurs cultes dans une maison particulière, elle se procura le livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mrs. Eddy. Nous commençâmes à l'étudier et à mettre en pratique ce que nous lisions. Nous sommes très reconnaissants à notre bien-aimée Leader d'avoir si clairement interprété les enseignements et les promesses de la Bible. Nous nous sommes attachés entre autres passages à ce verset des psaumes (46:2): « Dieu est pour nous un refuge, un rempart, un secours dans nos détresses, et à la déclaration de Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 494): « L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain, et y répondra toujours; » et nous n'avons plus jamais eu recours aux méthodes matérielles de guérison.
Notre Leader dit (ibid., p. 302): « Dieu est Amour. Il est donc le divin Principe infini, appelé Personne ou Dieu. » Cette déclaration fait ressortir le vrai sens du mot « Principe » et m'a beaucoup aidé dans mes efforts pour comprendre la Science Chrétienne. Peu de temps après avoir entrepris l'étude de cette Science, je me rendis compte qu'outre les infirmités physiques il y avait bien des maux à guérir, notamment l'habitude de fumer. Surtout à cause de nos trois garçons, j'avais cherché à me corriger de ce goût par la force de volonté et par d'autres moyens; j'échouai complètement jusqu'au jour où je compris que « le Principe est absolu. Il ne comporte aucune erreur, mais repose sur la compréhension » (ibid., p. 283). Je suis bien reconnaissant à Dieu de ce que cette habitude fut détruite instantanément grâce à l'étude de la Science Chrétienne; nos fils, qui ont maintenant atteint l'âge d'homme, apprennent à connaître Dieu en tant que Principe.
Plus tard, une tumeur maligne se manifesta, me causant beaucoup de gêne et de souffrance; ce mal résistait à tous nos efforts, mais je n'envisageai pas le recours aux moyens matériels. Je finis par devenir tout à fait impotent. Nous fîmes appel à une praticienne qui nous envoya un message rassurant, ce qui calma et fortifia ma pensée. En quinze jours, ma guérison fut complète. Un empoisonnement du sang et une sciatique ont aussi été réduits à néant.
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