Pendant cinq ans j'ai souffert d'un mal pulmonaire, qu'au bout de ce temps, on appela: la tuberculose. Médicaments, cure hydrothérapique, bains de soleil et un séjour dans un sanatorium, tout fut sans effet. En outre, il se déclara, la cinquième année, une maladie des reins pour laquelle je devais subir une opération. Je ne pouvais plus marcher, et devais rester soit étendue, soit assise dans un fauteuil, soutenue par deux coussins. Mon état était désespéré. A ce moment-là, à l'heure la plus sombre de ma vie, Dieu m'envoya quelques Herolds der Christian Science. Quinze jours plus tard, on me donna le livre de texte: Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. Je me mis à l'étudier et me rendis bientôt compte que son enseignement révèle la vérité concernant Dieu et l'homme. Je ne versais plus des larmes de chagrin mais de joie. Je n'étais plus triste parce que le beau soleil dans lequel je m'étais si souvent baignée ne m'avait pas guérie; car la vraie lumière, le soleil qu'est la Vérité, avait dispersé les ténèbres, et la tuberculose et la maladie des reins avaient disparu. La cinquième semaine, je travaillais dans une manufacture sans éprouver la moindre douleur, tandis qu'auparavant, pendant cinq ans, j'avais été totalement incapable de travailler.
Le mal d'autrefois n'avait pas reparu, et je jouissais des heures ensoleillées que m'avait données la Science Chrétienne, lorsqu'un an plus tard, en m'asseyant au travail un matin, je fus pleine de crainte et la peur m'envahit. Bientôt après, je ressentis au dos la douleur aiguë dont j'avais souffert autrefois. Je ne pus me pénétrer immédiatement de la vérité, mais en arrivant à la maison je lus le livre de texte, et ce soir-là j'étais affranchie. Depuis lors, six ans se sont encore écoulés, durant lesquels la Science Chrétienne a été ma meilleure amie et mon soutien. En outre, j'ai eu de nombreuses preuves de la présence de Dieu. Une angine avec dysphagie, un mal de dent aigu, des malaises, un épuisement, de l'enflure et de l'inflammation à un doigt, disparurent instantanément lorsque je compris qu'“il n'y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière” (Science et Santé, p. 468). Il y a trois ans environ j'ai entrepris l'étude de l'anglais afin d'être à même plus tard de lire les écrits de la Science Chrétienne, qui ne paraissent qu'en anglais.
Je suis sincèrement reconnaissante à Dieu de toutes ces expériences, de même qu'à notre révérée Leader, Mary Baker Eddy, qui a si clairement révélé la merveilleuse vérité curative dans ses ouvrages. Je désire aussi exprimer ma sincère gratitude à deux membres de L'Église Mère, qui m'ont souvent affectueusement montré le chemin.
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