Il y douze ans, je commençai l'étude de la Science Chrétienne et n'y avais travaillé que depuis quelques mois, lorsque je pus me passer des lunettes que j'avais portées depuis quatre ans. Plus tard, la Science Chrétienne me guérit en trente-six heures d'une dangereuse crise d'influenza, alors que mon bébé n'avait que huit jours. La Science Chrétienne nous a merveilleusement aidés à élever nos deux enfants dès leur plus bas âge. L'été dernier notre petit garçon de trois ans se sauva un jour de la maison. J'ignorais quel chemin il avait pris et où il était allé, mais en réalisant la vérité que nous enseigne la Science Chrétienne je fus bien guidée, car lorsque j'arrivai à la quatrième rue, je le trouvai, sain et sauf, en compagnie d'une dame qui me dit que, l'ayant trouvé au milieu d'une de nos rues les plus encombrées de la ville, elle l'avait sauvé de tout danger. Elle dit qu'au moment où elle alla à son secours il était environné de quatre automobiles et de deux trains qui étaient sur le point de se rencontrer à l'endroit où il se trouvait.
A la même époque environ, notre petite fille, qui avait alors dix-huit mois, avait contracté l'habitude de fourrer du papier et d'autres petits objets dans son nez. Je n'ajoutais aucune importance à cette habitude et n'y prenais point garde jusqu'au jour où j'emmenai l'enfant pour faire une visite à une amie, qui observa la chose et la déclara très sérieuse. La crainte me saisit immédiatement, mais je n'eus pas le soin de l'enrayer avec la vraie compréhension de Dieu, car le lendemain, en rentrant avec l'enfant, j'observai à sa respiration que quelque chose d'invisible s'était logé dans son nez. Cependant, comme elle ne paraissait pas en souffrir, je n'y pensai plus, croyant que peut-être elle était légèrement enrhumée. Quelques mois plus tard, il se dégagea du nez une très vilaine odeur. Alors cet état de choses me parut très sérieux et je réalisai, du mieux que je le pus, la vérité à ce sujet. Peu de temps après, quelque chose de blanc parut au-dessus de l'une des narines et semblait ne pas vouloir bouger de sa place. Je ne réuissis à l'enlever par aucun moyen matériel et fus saisie d'une telle crainte que je demandai de l'aide à une praticienne. La chose blanche était un gros noyau de cerise, ainsi qu'on put bientôt le reconnaître, et commença alors à descendre graduellement; six jours après que nous eûmes demandé du secours à la praticienne, nous pûmes facilement l'enlever. Une fois le noyau sorti, la mauvaise odeur disparut et il n'y eut aucune suite fâcheuse. Cette démonstration eut lieu en octobre, environ trois mois après la saison des cerises. Nous avons eu dans notre home beaucoup d'autres preuves merveilleuses du pouvoir guérisseur et protecteur de l'Amour divin, et je suis vraiment reconnaissante de tous ces bienfaits.
Oakland, Californie, É.U.A.
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