
Editoriaux
Celui qui lit Science et Santé avec la Clef des Écritures pour la première fois pourrait être surpris par les premières pages du chapitre intitulé « Pratique de la Science Chrétienne ». Celui-ci traite de la guérison des malades, sans toutefois commencer par des instructions particulières ou des règles détaillées pour le traitement.
La tâche de Moïse n'était certes pas toujours facile. En une certaine occasion, sa sœur la rendit encore moins facile.
Des millions de jeunes se rendront à l'école cet automne, certains pour la première fois. Des milliers d'hommes et de femmes occuperont de nouveaux emplois, certains pour la première fois; d'autres s'apprêteront à partir à la retraite.
• Un acrobate qui effectue un saut périlleux tout là-haut sur son fil ; • un chercheur reconnu pour la précision de ses connaissances et de son jugement ; • un pianiste qui rend fidèlement la merveilleuse mélodie d'un concerto de Mozart ; • un champion de rugby qui effectue avec précision une passe de trente mètres juste avant d'être plaqué par un adversaire. Qu'ont-ils tous en commun ? Une liberté et une adresse exceptionnelles provenant de la maîtrise de leurs techniques respectives; une maîtrise exceptionnelle résultant à son tour d'un entraînement intensif régi par une discipline rigoureuse.
Le temps qui, tel un tyran, nous dit ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire, doit être vaincu. C'est notre détermination quotidienne à ne pas nous soumettre à cette tyrannie, ou à toute autre forme de tyrannie, qui nous sauve de la violence d'une lutte désespérée pour la vie.
L'immortalité ne se trouvera pas seulement dans des lendemains — pas même dans des siècles de lendemains. Nous la trouvons aujourd'hui.
Cet éditorial ne saurait fournir, à lui seul, une réponse complète à cette question, mais certains points fondamentaux peuvent y être abordés. Le traitement en Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) n'est pas le fonctionnement d'un mécanisme mental personnel, mais l'illumination de la conscience humaine par la révélation divine.
Aucun de nous ne devrait être entièrement satisfait des guérisons qu'il accomplit à l'heure actuelle. Certes, nous pouvons être profondément reconnaissants pour tout ce qui prouve que Dieu guérit.
Au royaume des cieux — véritable conscience spirituelle de Dieu qui appartient à l'homme — il n'existe ni désir insatisfait ni satiété insipide. Les prédications de Jésus portaient sur le royaume de Dieu et sur la manière dont les humains le trouvent, en le recherchant dans leur véritable être spirituel.
Que voulait dire Jésus ? De grandes foules se pressaient autour de lui. Se retournant, il leur dit cette parabole remarquable: « Lequel de vous, s'il veut bâtir une tour, ne s'assied d'abord pour calculer la dépense et voir s'il a de quoi la terminer, de peur qu'après avoir posé les fondements, il ne puisse l'achever, et que tous ceux qui le verront ne se mettent à le railler.