
Editoriaux
Il est possible d’établir la paix sur la terre, et cela peut commencer par nous.
Alors que nombreux sont ceux qui attendent un vaccin contre le coronavirus pour protéger leur santé et assurer leur sécurité, l’auteur évoque une approche différente. En comprenant plus complètement notre relation à Dieu, nous faisons l’expérience immédiate d’une meilleure santé.
« Ni le mépris des droits de l’homme, ni l’injustice d’origine raciale ou autre ne peuvent arrêter l’amour que Dieu, l’Amour divin, épanche librement vers Son enfant, c’est-à-dire chacun de nous. »
Parfois, des choses telles que des reportages inquiétants, des schémas de pensée négatifs, ou des relations discordantes, semblent avoir pris possession de nous. Mais on peut toujours s’en libérer en s’attachant à la vérité que nous n’appartenons qu’à Dieu.
Même en période de trouble et d’inquiétude – d’ailleurs, surtout en ces périodes – le Christ dispense le calme sacré qui dissout les tensions et le stress, les fardeaux et la douleur.
Nous pouvons affronter le caractère inévitable de tout mal – ce qui inclut les épidémies et leurs effets sur l’activité économique et la vie privée – de la même façon que l’auteur a affronté le caractère en apparence inévitable du crime dans la vie urbaine.
Au moment de planifier la prochaine période de Noël, nous pouvons veiller et prier, en gardant avant tout à la pensée les enseignements de Christ Jésus – que l’homme, en tant qu’enfant de Dieu, est en réalité spirituel et pur, exempt de toute prétention de maladie et de péché.
Il n’est pas nécessaire de subir seul des moments difficiles. Les expériences bibliques et celles de l’auteur prouvent qu’une perspective spirituelle, laissant Dieu conduire la bataille, confère une assurance reposante et la victoire.
Avec l’Entendement divin omniscient de notre côté, nous pouvons nous attendre à trouver des solutions à nos problèmes actuels.
La Bible contient des vérités qui permettent de dissiper toutes les craintes qui semblent nous dominer. Par exemple, l’auteur s’est appuyé sur l’histoire de Jacob et d’Esaü pour manier métaphysiquement la peur d’une confrontation imminente.