Au début de mes études universitaires, j’ai donné des cours de musique à un petit garçon. En connaissant mieux sa famille, j’ai appris qu’ils étaient scientistes chrétiens.
Depuis mon adolescence, j’étais insatisfaite de la religion dans laquelle j’avais grandi et qui me mettait mal à l’aise. J’avais très peur de Dieu, je me sentais indigne d’être en Sa présence, et ce sentiment me semblait injuste. Néanmoins, comme ces croyances erronées ainsi que d’autres à propos de Dieu étaient profondément ancrées en moi, quand j’ai appris que mes nouveaux amis étaient scientistes chrétiens, j’ai ressenti le besoin de sauver leur âme de ce que je croyais alors les attendre, et qui serait sûrement la damnation éternelle.
J’ai maintes fois rencontré la mère du petit garçon et, lors de nos conversations, elle répondait avec patience et bienveillance aux points de vue présentés dans mes brochures consacrées au « salut de l’âme ». Elle m’expliquait comment la Science Chrétienne considérait le péché et le salut. Au cours de nos discussions, j’ai eu plusieurs belles prises de conscience. En bref, j’en apprenais davantage sur l’amour extraordinaire de Dieu et Sa grâce merveilleuse. Je voulais vraiment en savoir plus.