On a beaucoup parlé de la corruption dans de nombreuses régions du monde, notamment au Brésil. Le mot « corrompre » peut signifier « adultérer ; pervertir ; soudoyer ». Et « soudoyer », c’est « s’assurer à prix d’argent et d’une manière immorale le concours de (qqn) » (Dictionnaire Le Robert).
Habituellement, nous condamnons la corruption perpétrée par des hommes politiques, dont les actions peuvent parfois être illégales, ou bien légales mais immorales. Mais sommes-nous vigilants vis-à-vis de notre propre obéissance à la loi, y compris à la loi morale ? Par exemple, sommes-nous tentés de nous faufiler devant les autres dans une file d’attente ? Ou d’utiliser des ressources au travail à des fins personnelles et sans autorisation ? Respectons-nous toujours les lois de notre pays ?
Il est important de résister à l’influence du « Tout le monde le fait ». Mary Baker Eddy, la fondatrice de la Science Chrétienne, écrit : « Entraînés par le courant populaire de la pensée mortelle, sans mettre en question la véracité de ses conclusions, nous faisons ce que les autres font, croyons ce que les autres croient et disons ce que les autres disent. » (Ecrits divers 1883–1896, p. 228)
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