Je tiens ferme face aux vents de l’adversité. Rien ne me fait bouger quand mes mains sont accrochées aux remparts de la Vérité. Rien ne me fait bouger quand mes pieds sont fixés sur la plate-forme de la Vérité
car ma pensée, par la prière, au Christ vivant est liée
car ma conscience, par l’étoile de la paix qui brillait sur Bethléem, est éclairée
car mon âme, par la joie de l’Esprit que chantaient les anges dans la nuit, est nourrie.
Comme les bergers d’autrefois, nous pouvons courir dans la nuit – les moments sombres de la vie – en toute sécurité pour trouver l’enfant nouveau-né,
symbole de l’expression parfaite de la Vie éternelle,
symbole de l’activité de l’Amour divin disponible à l’humanité et à l’univers pour rejeter les injustices et la souffrance non méritée.
Comme les bergers d’autrefois, nous pouvons alors « [nous] en retourner »
remplis de gratitude et d’humilité pour cette unité avec le créateur,
stimulés par l’assurance de la présence de Dieu sur la terre comme au ciel et par le désir de prouver que Dieu est juste et que Sa loi du bien infini est réelle.
Avec comme récompense une harmonie retrouvée, nous sommes enrichis d’un sens d’existence plus élevé.
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