Un jour, en me réveillant, je me suis aperçu que j’avais mal à la cheville. Mais je savais ce que je devais faire. A l’école du dimanche de la Science Chrétienne, j’ai appris que je peux ouvrir ma pensée pour entendre les pensées de Dieu. Ecouter Dieu, c’est une des manières de prier.
J’ai commencé à prier, et une chanson de feu de camp m’est venue à l’esprit. Elle s’appelle « La chanson du téléphone ». Voici ce qu’elle dit :
Chanteur 1 : Salut, [nom du chanteur 2] !
Chanteur 2 : Quelqu’un m’appelle.
Chanteur 1 : Salut, [nom du chanteur 2] !
Chanteur 2 : Tiens, je l’entends encore.
Chanteur 1 : On te demande au téléphone.
Chanteur 2 : Si ce n’est pas [nom d’une autre personne], je ne suis pas là.
Juste après, j’étais tout à fait bien, et ma cheville ne m’a plus fait mal depuis. J’ai compris que lorsque ma cheville me faisait mal, c’était comme si le Chanteur 1 essayait de m’appeler ou d’attirer mon attention. J’ai donc décidé de faire comme le Chanteur 2 et de ne répondre qu’aux appels venant de Dieu. Je pouvais alors dire : « Si ce n’est pas Dieu, je ne suis pas là ! »
Cette expérience m’a appris que l’on peut décider de ne répondre qu’aux appels de Dieu. C’est une façon d’être vigilant. Dans la Bible, Jésus raconte l’histoire d’un portier qui est censé surveiller la maison et ne pas s’endormir. (voir Marc 13:34-37) Nous pouvons être attentifs à ce que nous pensons, et ne laisser entrer que les bonnes pensées.
Alors, la prochaine fois qu’une pensée frappe à ta porte, tu pourras dire comme le portier : « Si ce n’est pas Dieu, je ne suis pas là ! »