La Science Chrétienne a apporté beaucoup de lumière et de joie dans ma vie. Ce sont ces lignes, extraites de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, qui l’expriment le mieux : « Comme notre terre reçoit peu de lumière ou de chaleur lorsque les nuages couvrent la face du soleil ! Ainsi la Science Chrétienne ne peut être discernée que lorsque se dissipent les nuages du sens corporel. La terre a peu de lumière ou de joie pour les mortels avant qu’ils apprennent spirituellement ce qu’est la Vie. » (p. 548)
Lorsque j’étais enfant, ma mère a été guérie d’une infection et d’une détérioration des os consécutives à une opération chirurgicale qui ne s’était pas bien déroulée. Je me souviens qu’on m’a toujours dit que c’était la Science Chrétienne qui avait guéri ma mère par la prière. C’était considéré comme un miracle. Cependant, nous avons continué de fréquenter l’église protestante à laquelle nous nous rendions depuis toujours.
A une vingtaine d’années, j’ai subi deux opérations pour une infection des sinus. Au final, le médecin m’a dit franchement qu’il ne pouvait plus rien faire pour moi, et il m’a recommandé un régime et des bains de soleil. J’ai demandé à une praticienne de la Science Chrétienne de m’aider. Elle m’a dit qu’elle prierait pour moi à condition que j’étudie la Leçon-Sermon du Livret trimestriel de la Science Chrétienne chaque jour. C’était la première fois que je lisais ces leçons, et j’ai été amenée à étudier la Science Chrétienne de façon systématique. J’ai commencé à voir qu’elle est pratique et logique, et lorsque la guérison du problème aux sinus s’est produite, cela m’a semblé naturel, et non pas un miracle.
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