Témoignages
Ma femme souffrit pendant bien des années d'une maladie interne organique. Plusieurs bons médecins firent leur possible pour la soulager, mais sans y arriver.
Il y a huit ans je fus instantanément guérie d'une maladie interne organique, d'une maladie des intestins soi-disant incurable et de neurasthénie ainsi que de cors et d'oignons par la lecture de Science et Santé. Depuis lors j'ai eu bien des expériences merveilleuses de guérison.
Il y a déjà quelque temps que je m'intéresse à la Science Chrétienne. Je souffrais de troubles d'estomac, des reins, et du foie ainsi que de rhumatisme et bien souvent de maux de gorge et de maux de tête violents.
Les paroles sont inadéquates à exprimer la gratitude que je ressens pour les innombrables bienfaits, y compris la santé, que m'ont procuré les traitements et l'étude de la Science Chrétienne. Avant d'avoir eu ces traitements, un des nombreux médecins qui m'avaient soignée déclara que j'étais une pauvre loque humaine et que je n'avais même pas six mois à vivre.
Je voudrais relater quelques-uns des bienfaits reçus par l'étude de la Science Chrétienne. En novembre, 1913, je fus pris de rhumatismes articulaires.
La Science Chrétienne m'a réellement régénéré. Pour celui qui a contemplé le Christ ressuscité le plaisir est grand de témoigner des nombreux bienfaits reçus grâce à l'étude du livre de texte, "Science et Santé avec la Clef des Écritures" par Mrs.
Parce que je me suis sentie moi-même si encouragée en lisant les témoignages dans le Sentinel, j'envoie celui-ci en signe de gratitude, et dans l'espoir qu'il aidera quelqu'un qui souffre. L'expérience suivante montrera qu'il n'est jamais trop tard pour se tourner vers Dieu.
Depuis de longues années, je souffrais d'une maladie d'estomac, d'indigestions continuelles, de rhumatisme, et surtout d'une faiblesse générale durant six mois de l'année dernière, où j'étais dans l'impossibilité de faire aucun travail. J'ai eu le bonheur de connaître, dans une maison de convalescence, une jeune fille qui m'a parlé de la Science Chrétienne et je puis dire que dès le premier traitement, j'ai ressenti une amélioration, se confirmant par les traitements qui suivirent.
Pendant l'été de 1911, j'étais très malheureuse, ayant accouché avant terme d'un enfant mort-né, et bien que le docteur et le professeur m'aient déclaré que cet événement n'avait pas eu de cause valable, je le considérai comme la conséquence de la crainte incessante que j'avais ressentie durant la période antérieure. Non seulement la moindre des causes m'effrayait, mais encore la crainte d'une frayeur subite m'avait hantée continuellement.
C'est en raison de la profonde gratitude que je ressens pour tous les bienfaits reçus grâce à la Science Chrétienne que je tiens à en citer quelques-uns. Depuis mon enfance j'avais souffert de maux de tête, et je n'avais jamais été robuste en dépit de tous les médicaments que j'avais pris.