Témoignages
En décembre 1921, je fus prise d'une inflammation articulaire au genou. Tout d'abord j'en fus très effrayée, attendu qu'au printemps de 1920 j'avais passé six semaines dans un hôpital pour le même mal, et que j'en avais souffert pendant des mois.
Je désire exprimer ma gratitude pour les bienfaits que j'ai reçus par l'intermédiaire de la Science Chrétienne, il y a environ huit ans, non sous forme de guérison physique. A cette époque j'étais persuadée que je ne tenais pas à connaître la Science Chrétienne, et qu'elle ne me serait d'aucune utilité; mais il y avait une certaine personne qui, ainsi que je le pensais, en avait bien besoin, et je l'engageai à me permettre de la conduire chez une praticienne.
Il y a quelques années je me fis opérer de ce qu'on appelle une tumeur incurable. On pensait que je ne me rétablirais pas et que je m'en retournerais bientôt à l'hôpital.
La Science Chrétienne vint à moi après que les médecins eurent dit qu'il ne restait rien à faire. A cette époque j'étais avec la Croix-Rouge dans un hôpital du Gouvernement, où j'avais consulté non seulement leurs docteurs, mais encore plusieurs spécialistes de la gorge.
Ma gratitude envers la Science Chrétienne est grande pour les preuves qu'elle m'a données de la toute-puissance de l'Amour divin. Il y a plus de vingt ans que mon attention avait été attirée sur elle; toutefois, pendant les années qui suivirent, je n'y pris aucunement garde.
C'est le cœur plein de gratitude que je désire donner le témoignage suivant concernant les merveilleuses expériences que j'ai faites en mettant la Science Chrétienne en pratique. Il y a plus de dix ans, je souffris de calculs biliaires, dont je fus souvent atteinte plusieurs fois par semaine et qui me causèrent des douleurs presque insupportables.
En 1918, au moment où sévissait la grippe, mon mari, qui était alors mon fiancé, en fut atteint. Sa température monta rapidement et dépassa 104 degrés Fahrenheit.
Ayant le cœur plein de reconnaissance, je désire rendre témoignage d'une guérison qui s'effectua en 1923, pendant la semaine de Pâques. J'avais attrapé un fort rhume.
C'est le cœur débordant de gratitude que je désire exprimer ma reconnaissance pour tout ce que j'ai reçu grâce à la Science Chrétienne, et pour la preuve évidente, qui m'est venue maintes fois, que l'Amour toujours présent nous soutient dans les bras de notre Père fidèle. Un ébranlement cérébral et une grave blessure au visage furent rapidement guéris lorsque je compris qu'il n'y a pas d'accidents dans le royaume de Dieu.
Durant l'année dernière nous avons eu maintes guérisons merveilleuses dans notre famille, entre autres, celles de la coqueluche, d'une angine, d'un lumbago, de l'eczéma et de rhumes. Il y a trois ans, j'eus un enfant presque sans souffrance.