Témoignages

Il y a douze ans que j'entendis parler de la Science Chrétienne pour la première fois. Dès lors, j'ai reçu de nombreux bienfaits, ce dont je remercie Dieu du fond de mon cœur; et maintenant je me sens poussée à donner mon témoignage.

Je suis heureux de pouvoir dire avec reconnaissance tout ce que j'ai reçu par la Science Chrétienne. Ensuite d'un accident survenu il y a vingtcinq ans environ, je souffrais beaucoup d'une double hernie.

Il y a bien des années, une cousine d'Édimbourg attira mon attention sur la Science Chrétienne. Depuis mon enfance, les questions religieuses m'avaient toujours déconcertée, et j'avais lu de nombreux livres sur la théosophie, le spiritualisme et d'autres théories.

Par l'étude et l'application pratique de la Science Chrétienne, j'ai trouvé le contentement, la joie et la paix, tandis qu'auparavant l'inquiétude et le tourment m'avaient paru si réels. Je dois être très reconnaissante parce que la Science Chrétienne m'a guérie d'une maladie de l'épine dorsale dont j'avais souffert une grande partie de ma vie.

Il y a environ dix ans, je souffrais d'un goitre sous sa forme la plus pénible. J'avais été traitée par plusieurs docteurs, et enfin, avec peu d'espoir, on m'envoya à l'hôpital.

Je voudrais exprimer ma gratitude envers Dieu et envers cette chère Mrs. Eddy, pour tout ce que l'étude et l'application de la Science Chrétienne ont fait pour moi et les miens.

La Science Chrétienne nous fut offerte au moment où, au sens physique, j'étais apparemment perdu pour toujours. La malaria et d'autres fièvres m'avaient affaibli le cœur au point que mon médecin m'envoya au bord de la mer dès qu'on put me transporter.

Une chère amie, paralysée pendant deux ans et demi, puis guérie en très peu de temps par la Science Chrétienne, me parla de cette Science. Pour commencer, je ne voulus rien avoir affaire avec cet enseignement.

Avant d'entreprendre l'étude de la Science Chrétienne, j'étais très craintive et mentalement incertaine sur des sujets fondamentaux. La Bible contenait tant de choses que je ne pouvais comprendre, et bien que j'eusse un profond désir d'aider l'humanité, je ne voyais jamais bien comment le faire.

Il y a quatre ans, je souffris d'une pneumonie et d'une pleurésie, et l'on m'emmena à l'hôpital dans un état critique. J'y restai onze semaines, et à plusieurs reprises, les docteurs perdirent l'espoir de me sauver.