
Témoignages
« Alléluia! Car il règne, le Seigneur Dieu tout-puissant. » Depuis bien des années, j'ai sans cesse la preuve du fait que Dieu est tout-puissant.
Depuis vingt-cinq ans que j'étudie la Science Chrétienne, j'ai maintes fois eu des preuves convaincantes du pouvoir guérisseur et protecteur de la Science Chrétienne, au foyer et dans les affaires. Les nombreuses guérisons que j'ai obtenues ou vues m'ont convaincu que dans le livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, nous a montré la bonne voie et nous a fourni les moyens d'acquérir la connaissance de la Vérité qui, selon la promesse du Maître, doit nous affranchir.
Il y a plus de trente ans, j'ai déjà envoyé un premier témoignage pour dire comment je m'étais tournée vers la Science Chrétienne et raconter ma guérison. Je désire maintenant ajouter, après ce long intervalle, que la guérison s'est avérée permanente.
Les paroles n'expriment qu'imparfaitement ma gratitude au sujet de la Science Chrétienne. En juin 1941, alors que je me rendais au travail, une automobile entra en collision avec la nôtre; l'accident fut mortel pour le chauffeur et l'un des passagers.
Ce qui me pousse à raconter ma première guérison en Science Chrétienne, c'est la reconnaissance au sujet des travailleurs consacrés qui voient de quoi leur prochain a besoin et qui lui viennent en aide. Il y a environ vingt-cinq ans, alors que mon fils était tout petit, nous habitions, mon mari et moi, un appartement dans un grande immeuble de New-York.
La Science Chrétienne m'a fait renaître. Elle a pourvu à tous mes besoins, elle m'apporte une joie et une liberté croissantes.
Je désire exprimer ma gratitude pour la merveilleuse protection que m'a value la compréhension de la Science Chrétienne, pendant la dure période qui suivit le mois de septembre 1939. Au commencement des hostilités, je fus appelée à servir dans les postes auxiliaires d'ambulance à Londres; bien des fois au cours de raids aériens violents, je me suis trouvée dans les rues pendant de longues heures, mais j'ai toujours été protégée.
Un certain été, je passai mes vacances à parcourir à pied les plages de l'Orégon. Bientôt un peu de sable qui pénétra dans ma chaussure m'écorcha le talon.
Ayant récolté depuis nombre d'années les bienfaits de la Science Chrétienne et les encouragements qu'apportent les témoignages publiés dans nos périodiques, j'exprime à mon tour ma reconnaissance dans l'espoir d'aider ceux qui liront ceci. J'avais eu plusieurs insolations qui m'avaient laissé dans un état déplorable; et comme les docteurs ne pouvaient rien pour moi, je fus pendant des années esclave de la crainte.
Quelquefois, en lisant nos périodiques, nous percevons une vive lumière éclairant une page de notre passé que nous n'avions pas entièrement comprise. C'est ce qui m'arriva quand je lus dans The Christian Science Journal du mois d'août 1941 un éditorial intitulé « Le Foyer » [voir Le Héraut, juin 1942].