Témoignages

Lorsque je commençai l'étude de la Science Chrétienne, on aurait eu peine à trouver un homme plus abattu que moi. En peu de temps j'avais perdu dans des circonstances très pénibles trois personnes qui m'étaient chères; et les souffrances, la mort, le sentiment de perte me laissaient une impression très vive.

C'est avec une humble gratitude envers Dieu, qui m'a comblée de bénédictions, que j'envoie ce témoignage. Depuis longtemps j'avais des varices, et quelques mois avant que j'entende parler de la Science Chrétienne j'eus un ulcère à la jambe.

Ma gratitude concernant les nombreux bienfaits reçus par le canal de la Science Chrétienne m'engage à écrire ce témoignage. Je tiens à mentionner tout d'abord la paix que m'a value une compréhension meilleure de Dieu, et la cessation des craintes touchant un au-delà incertain.

La bonté de Dieu m'inspire une immense gratitude, c'est pourquoi je rends témoignage au pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne. Pendant mon adolescence, alors que j'étais en visite chez une compagne d'école, j'y rencontrai une praticienne.

Mon premier contact avec la Science Chrétienne date de mon enfance: à partir de l'année 1908, je fréquentai l'école du dimanche. Mais par la suite je me trouvai dans un milieu qui n'était pas favorable à la Science, et pendant plusieurs années je ne m'y intéressai guère.

De même que les soldats qui se battent sont encouragés par la nouvelle d'une victoire sur un autre front, nous apprenons avec joie les nouvelles d'une victoire dans une des innombrables batailles que le genre humain doit gagner sur l'erreur. Depuis que mon fils est dans l'armée, j'ai souvent pensé à une chose qui lui arriva dans son enfance, et je désire en faire part à d'autres, car on y trouve une belle assurance du pouvoir de la Vérité qui nous sauve.

Je désire exprimer ma gratitude au sujet de la Science Chrétienne. C'est l'auteur du témoignage ci-dessus qui me l'a fait connaître il y a neuf ans, alors que la médecine s'avérait impuissante dans mon cas.

Désirant rendre grâce à Dieu pour Sa bonté, et dire combien j'apprécie l'admirable travail d'une fidèle praticienne, je veux raconter la guérison de mon petit neveu par la Science Chrétienne. Il vint au monde sept mois après une période d'attaques aériennes intenses pendant lesquelles les deux maisons contiguës à la nôtre furent atteintes par les bombes.

Chaque année en automne je souffrais d'eczéma. Ce mal apparaissait d'abord au bras, sous une forme bénigne; mais l'inflammation et l'irritation augmentaient graduellement pendant plusieurs mois.

En 1916, on refusa de me nommer à un poste dans l’administration parce que trois docteurs avaient déclaré que je souffrais d’une maladie des reins censément incurable. Pendant longtemps les médecins me traitèrent et je suivis un régime rigoureux, mais il n’y eut pas d’amélioration.