
Témoignages
Ce qui me pousse à donner mon témoignage, c'est d'une part le désir d'aider autrui, d'autre part ma reconnaissance touchant la belle guérison obtenue au printemps 1948, grâce à la Science Chrétienne. J'eus soudain une phlébite et une thrombose dont ma jambe fut affectée depuis le pied jusqu'à la hanche.
« L'Éternel est mon berger; je n'aurai point de disette. » Depuis quinze ans, ce verset des Psaumes éveille ma profonde gratitude envers Dieu, envers le Chrétien par excellence, Jésus le Christ, envers notre révérée Leader, Mary Baker Eddy, et tout le mouvement de la Science Chrétienne, dont la multiple et bienfaisante activité nous conduit des sens à l'Ame.
Une amie Scientiste Chrétienne m'avait dit: « Il vous faut parler! » Réfléchissant à cela, je me rendis compte que Jésus le Christ parlait souvent. Sinon les humains n'auraient pas eu la lumière et les bénédictions de ses paroles admirables.
Il y a plus de dix-sept ans que je connais la Science Chrétienne. A cette époque la tuberculose dont je souffrais depuis neuf ans m'obligeait à rester au lit.
Il y a longtemps que j'aurais dû reconnaître ouvertement les bienfaits que ma famille et moi-même devons à l'étude de la Science Chrétienne et à sa mise en pratique. Depuis plus de vingt-six ans la paix, la santé, le bonheur sont nôtres; tout le mérite en revient à cette grande religion et à Mary Baker Eddy, qui l'a découverte et fondée.
Quand je revins chez moi après la première Guerre mondiale, je souffris longtemps d'une pénible maladie cutanée. Les démangeaisons incessantes, les gerçures, l'eczéma me tourmentaient.
Depuis plus de seize ans, le pouvoir transformateur et régénérateur du Christ, de la Vérité, s'est fait connaître dans notre famille. Graduellement l'harmonie, la paix, la joie, l'inspiration ont remplacé la discorde, la confusion, la tristesse et la monotonie.
Nous étions tout petits lorsque la Science Chrétienne fut présentée à notre famille. Ma mère attendait un nouveau bébé; le docteur lui dit que sa vie était en péril et que l'enfant serait mort-né.
C'est avec un sentiment de profonde reconnaissance à l'égard de notre Père-Mère Dieu que j'exprime ici toute ma gratitude pour les bienfaits obtenus par la connaissance de la Science Chrétienne. J'avais six ans lorsque ma mère mourut de la tuberculose.
Pendant plusieurs années, je devins aveugle par intervalles; la médecine appelait mon mal le trachome. Quand j'en étais atteinte, je souffrais beaucoup et ne pouvais supporter la lumière du soleil.