
Témoignages
Dès ma jeunesse j'avais souffert de rhumatismes et de migraines; les docteurs ne me donnaient aucun espoir d'être affranchie de ces maux. En 1931 je fis la connaissance d'une dame qu'un seul traitement en Science Chrétienne avait guérie alors que dix-sept docteurs avaient déclaré qu'elle souffrait d'une maladie d'estomac incurable.
Ma première entrevue avec une praticienne me guérit de l'alcoolisme. J'en étais arrivée à cacher des flacons de spiritueux au galetas, dans l'écurie, et dans plusieurs armoires de la maison afin que ma famille ne les voie pas.
J'écris ce témoignage par reconnaissance envers Dieu, dont je loue la bonté. Il y a des années je fus sérieusement souffrante; le docteur diagnostiqua une maladie de cœur et me dit que je ne pourrais plus jamais être active et robuste.
Lorsque je dirigeais un hôtel en Suisse, j'avais parmi mes hôtes un Anglais et sa femme; l'atmosphère de tendre bienveillance qu'ils créaient eut sur moi une grande influence. Je la sentais si fortement que je finis par demander à mes hôtes s'ils pouvaient me dire pourquoi j'étais attiré par eux à ce point.
Les grandes bénédictions que j'ai reçues grâce à la Science Chrétienne, m'engagent à remercier Dieu de tout mon cœur. Il serait impossible de raconter séparément tous les bienfaits que je lui dois, et je n'en mentionnerai que deux.
Me reportant à mes débuts en Science Chrétienne, je vois combien sont vraies ces paroles de Mrs. Eddy ( Science et Santé , p.
Lorsque j'entendis parler de la Science Chrétienne, j'étais très malade. Deux chirurgiens m'avaient dit qu'une opération était urgente, que je souffrais d'un fibrome et qu'il fallait agir sans délai.
Avant ma première visite à une Salle de lecture de la Science Chrétienne, je désirais mourir, mais je souhaitais aussi comprendre davantage ce qu'est Dieu. Dès mon enfance j'avais fréquenté l'École du dimanche puis les cultes d'une église traditionaliste; or ce qu'on m'y avait enseigné ne me satisfaisait pas.
« L'Éternel va consoler Sion: il va consoler toutes ses ruines. Il fera de son désert un Éden et de sa solitude aride un jardin de l'Éternel; on entendra au milieu d'elle les cris de joie et d'allégresse, les actions de grâces et le chant des cantiques » (Ésaïe 51:3).
« Mon âme, bénis l'Éternel, et que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom! Mon âme, bénis l'Éternel, et n'oublie aucun de ses bienfaits! C'est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités, qui arrache ta vie au tombeau, qui te couronne de bonté et de miséricorde » (Ps. 103:1–4).