Témoignages
Avec un cœur plein de gratitude je remercie la Science Chrétienne. Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de cette Science écrit dans Science et Santé avec la Clef des Écritures (p.
En 1939 je souffrais d'un empoisonnement du sang, d'une inflammation des reins et d'urémie. Parce que j'étais seule et qu'il n'y avait personne pour s'occuper de moi, je fus soumise à des soins médicaux.
Mon cœur déborde de reconnaissance envers Dieu pour Christ Jésus qui mit en pratique le christianisme, et pour Mrs. Eddy qui découvrit et fonda la Science Chrétienne.
« Pour ceux qui s'appuient sur l'infini et qui en font leur soutien, aujourd'hui est gros de bienfaits » écrit Mary Baker Eddy aux premières lignes de la Préface de Science et Santé avec la Clef des Écritures. Ma vie a été bénie par la Science Chrétienne.
Il a été dit que « la dernière extrémité de l'homme est l'opportunité de Dieu. » Ma famille a eu la preuve de ces paroles.
Pendant plus de vingt ans, constamment je souffrais d'ulcères à l'estomac, de spasmes intestinaux, de maux de tête et de nervosité. Je changeais souvent de docteur, j'étais radiographié, je suivais des traitements, des régimes, prenais des bouteilles de médicaments, et je dépensais beaucoup d'argent pour apaiser mon mal.
La Bible dit que Dieu « ordonnera à ses anges de te garder dans toutes tes entreprises (Ps. 91:11).
J'ai été élevé en Grèce par des parents religieux et dans une église orthodoxe. J'étudiais la Bible régulièrement en classe, car elle faisait partie de l'enseignement scolastique.
En 1930, j'entendis parler de la Science Chrétienne, depuis j'ai eu tant de démonstrations et de guérisons que je suis heureuse d'écrire ce témoignage. Ma gratitude pour la guérison de coliques néphrétiques est impossible à décrire.
En donnant ce témoignage je désire exprimer ma profonde reconnaissance envers Dieu pour Ses bienfaits et Sa bonté. Il y a quelques années, lorsque mon fils âgé de dix-sept ans fut victime d'un accident mortel, je fus accablée par un sentiment de dépression et de désespoir.