Témoignages
C'est avec un sentiment de profonde reconnaissance pour les bénédictions que ma famille et moi avons reçues depuis de nombreuses années, grâce aux enseignements de la Science Chrétienne, que je donne ce témoignage. U y a quelques années, je passai par une épreuve difficile lorsque je commençai à souffrir de dépression nerveuse.
« Apportez toutes les dîmes au trésor du temple. Qu'il y ait des vivres dans ma maison: mettez-moi ainsi à l'épreuve, dit l'Éternel des armées; vous verrez si je ne vous ouvre pas les écluses des cieux, et si je ne répands pas sur vous la bénédiction sans mesure (Mal.
Mrs. Eddy déclare ( Science et Santé, p.
Je désire exprimer ma gratitude pour les témoignages qui paraissent dans nos périodiques. Ils sont toujours pour moi une source d'encouragement lorsque je travaille les problèmes de la vie quotidienne.
Je commençais à lire régulièrement notre Leçon-Sermon hebdomadaire tirée du Livret Trimestriel de la Science Chrétienne, lorsque j'eus pour la première fois l'occasion d'utiliser la Science Chrétienne. J'avais été injustement accusé par un collègue de tramer une intrigue contre lui, et ma position devenait intenable.
Il y a quelques années, je souffrais d'un mal angoissant qui dura plusieurs mois. Un spécialiste à qui je demandai un diagnostic, m'enjoignit de me soumettre à un test sanguin, ce que je fis.
La Science Chrétienne me fut présentée par ma femme qui en avait commencé l'étude quelques années avant que je m'y intéresse. Une nuit elle tomba soudain malade.
J'aimerais exprimer ma reconnaissance pour le fait que l'étude et l'application de la Science Chrétienne ont renouvelé mon sens de l'être. Cette Science me fut présentée par un parent qui, vivant à quelque distance, avait coutume d'envoyer à notre famille les périodiques de la Science Chrétienne.
Les bénédictions que j'ai reçues grâce à l'étude de la Science Chrétienne sont nombreuses et c'est avec une profonde gratitude que je voudrais relater une guérison obtenue un jour de décembre en 1958. Je souffrais depuis mon enfance d'étouffements qui m'handicapaient beaucoup et qui m'épuisaient, car il m'était impossible de dormir pendant ces attaques.
Il y a huit ans environ, mon mari et moi roulions à une allure modérée, lorsqu'une voiture venant de la direction opposée, et dont le conducteur n'était plus maître, s'écrasa contre la nôtre. Le choc fut si violent que la portière à ma droite s'ouvrit brusquement et que je fus projetée contre le trottoir et grièvement blessée à la tête.