
Témoignages
J'entendis parler pour la première fois de la Science Chrétienne il y a plus de trente ans par une tante et un oncle que j'aime beaucoup et qui étudiaient cette Science avec sincérité. Science et Santé fut le premier livre sur la Science Chrétienne que je lus.
Lorsque j'étais enfant, je fus guérie de la scarlatine par la Science Chrétienne, et je commençai à connaître Dieu. Quelques années plus tard, je passai par une expérience qui me permit de mieux comprendre la nature de Dieu et de Son omniprésence.
Je suis si reconnaissant à la Science Chrétienne qui m'a guéri d'une anémie pernicieuse que je désire le faire savoir au monde entier. De cette façon d'autres sauront apprécier les mêmes avantages que moi, avantages à la portée de tous.
C'est avec grande joie que j'ai vu la Science Chrétienne guérir une maladie mentale. Ma mère devint profondément découragée, indifférente et inactive, physiquement et mentalement.
Il y a quelques années, j'acceptais avec grand plaisir une invitation de ma mère à l'accompagner à l'église de la Science Chrétienne, sans pourtant savoir de quoi il s'agissait vraiment. Toutefois, ce premier contact avec la Science Chrétienne, un mercredi soir à une réunion de témoignages, me laissa un sentiment de certitude que je ne pourrais jamais plus me sentir impuissant devant les circonstances.
Quelques années avant d'épouser mon père, ma mère souffrait de troubles cardiaques, d'insomnies, de névralgies et d'une paralysie des intestins. Cinq médecins lui accordaient moins d'une année à vivre.
Au cours de la première guerre mondiale, je fus blessé au genou par une balle, et de nombreux docteurs déclarèrent cette blessure incurable. Ils tombèrent tous d'accord pour dire que cet état ne guérirait jamais.
De nombreuses années ont passé depuis que j'ai entendu parler de la Science Chrétienne pour la première fois. J'avais été élevée dans un foyer protestant et mes parents étaient très pieux.
Dans l'établissement où je travaillais, il y avait un homme qui n'avait qu'une jambe. Il avait été blessé à l'autre jambe, la gangrène s'était déclarée et il avait fallu l'amputer.
J'avais près de neuf ans. Ma famille traversait des temps difficiles, mes parents étaient malades et leur commerce ne marchait pas bien.