
Témoignages
Depuis la naissance de mes enfants, j'étais protestante. Ayant connu de très près une famille qui utilisait la Bible pour sortir de tous les pas difficiles, j'en suis venue à agir de même et faisais appel aux Écritures même pour la guérison.
Toute jeune, j'ai eu des troubles de la vue qui ont persisté avec les années. Je me fis soigner tant ici qu'à l'étranger.
Estropiée physiquement par ce qui avait été diagnostiqué comme de l'arthrite, la guérison de cette affection fut ma première guérison en Science Chrétienne. J'étais institutrice, et je dus abandonner mon travail.
Ma vie a été comblée de bienfaits de toutes sortes par cette belle religion pratique. J'ai entendu parler de la Science Chrétienne grâce à une série de programmes de télévision intitulée: « Comment la Science Chrétienne guérit ».
Lorsque j'étais encore à l'école, j'ai cherché à comprendre la Parole de Dieu avec l'amour qui caractérise l'enfance. A quinze ans, ces paroles tirées de la Bible que Christ Jésus avait prononcées ne me quittaient jamais: « Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l'Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi » (Jean 15:26).
Peu avant la deuxième guerre mondiale, je me sentis subitement faible et je présentai des symptômes alarmants. Je passai aux rayons X et l'examen révéla une tuberculose du poumon gauche et une hypertrophie du cœur.
En juin 1972, j'assistai pour la première fois à l'Assemblée annuelle de L'Église Mère à Boston. Au cours de l'une des réunions, on parla de l'avantage d'avoir le livre d'étude de la Science Chrétienne Christian Science: Prononcer ´kristienn ´saïennce.
Mes parents se tournèrent vers la Science Chrétienne il y a bien des années, alors qu'ils recherchaient un moyen de me guérir. A l'époque, je souffrais, aux termes de ce que six spécialistes avaient diagnostiqué, de tuberculose et d'hydropisie au stade le plus grave.
Quand j’ai connu la Science Chrétienne il y a plus de trente ans, j’étais une malade sans espoir. Je souffrais de ce que les médecins avaient diagnostiqué comme une névrose du cœur, et on ne m’avait laissé que peu d’espoir d’être jamais rétablie.
Il y a quatre ans je faisais ma première année d’école secondaire. Le latin était obligatoire.