Témoignages
Je serai toujours reconnaissante pour l’aide que m’a apportée la prière lorsqu’un petit avion de tourisme, dans lequel je me trouvais, a dû faire un atterrissage forcé, il y quelques années. Au cours d'un vol de cinq cents kilomètres qui devait nous ramener, le pilote et moi-même, à notre base, nous avons été surpris par un brouillard très dense.
Il y a plusieurs années, je me suis retrouvée seule, avec quatre enfants à élever. Notre maison était grevée de deux hypothèques et je devais effectuer des remboursements sur les deux.
J'ai grandi aux États-Unis pendant la crise des années trente, et il semblait bien alors que notre famille avait plus que sa part de défis à relever. A cette époque, l’enseignement que me dispensaient les moniteurs dévoués de l’école du dimanche de la Science Chrétienne, ainsi que l’exemple de mise en pratique quotidienne de la Science Chrétienne que me donnaient mes parents éveillèrent en moi le désir d’acquérir une meilleure compréhension de Dieu, de Sa bonté et de Son amour.
Il y a de nombreuses années, je souffrais d'une maladie incurable de la peau et des muscles, que les divers docteurs consultés appelaient de la dermatomyosite. La cause de cette affection laissait les médecins perplexes et ils me bombardaient de questions.
C'est à l'université que j'ai, pour la première fois, entendu parler de la Science Chrétienne, lorsqu'une amie Scientiste Chrétienne m'invita à l'accompagner à l'école du dimanche. Aujourd'hui encore, je ne sais pas pourquoi j'ai accepté, car, à l'époque, je ne voyais pas l'intérêt de la religion.
Ma gratitude envers la Science Chrétienne est infinie. Non seulement cette Science m'a permis de connâitre mon Créateur, mais aussi, grâce à elle, j'ai compris l'héritage auquel j'avais droit en tant qu'enfant bien-aimée de Dieu.
Par une splendide matinée, je faisais ma promenade habituelle samedi à bicyclette et je m'étais éloignée de quelques kilomètres de la maison, lorsque j'eus « de sérieux démêlés » avec une voiture. Je roulais à près de trente kilomètres à l'heure, lorsque ce véhicule, en tournant, me coupa la route.
Il y a deux ans, pendant l'hiver, j'eus une mauvaise grippe et je souffris de ce mal, sous différentes formes, jusqu’en été. Un an plus tard, les mêmes symptômes reparurent et la pensée me vint que je ferais mieux de me ménager.
Nous lisons dans Science et Santé de Mary Baker Eddy (p. 411): « La maladie est toujours provoquée par un faux sens qui est nourri mentalement, non détruit.
J'étais allé chez un ophtalmologiste pour un changement de lunettes; après m’avoir examiné, il me dit que j’étais atteint de cataracte aux deux yeux. Il me suggéra quelques remèdes matériels afin de ralentir le développement de la maladie.